PESSOAS-3- | LUIZANTONIOSTEPHAN

CAPÍTULO 2
Personalidades

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ré
Né à Juiz de Fora le 19 avril à l'UFJF en 1995, il a commencé sa carrière à la Tribuna de Minas, où il a été reporter pendant plus de deux décennies. Elle a obtenu une grande reconnaissance pour son travail de journaliste d'investigation : elle est l'auteur du best-seller "Holocausto Brasileiro", élu meilleur rapport-livre de l'année par l'Association des critiques d'art de São Paulo (2013) et deuxième meilleur rapport-livre au Prix Jabuti (2014). ). Vendue à plus de 300 000 exemplaires au Brésil et au Portugal, l'œuvre a conquis les écrans TV en 2016, dans le documentaire réalisé en exclusivité pour HBO, diffusé dans plus de 40 pays. Cova 312, un autre livre de l'auteur, a remporté le prix Jabuti pour avoir abordé la dictature. En 2018, il a sorti Todo dia the same noite, qui raconte l'histoire inédite de Nightclub Kiss. La publication est dans la deuxième édition. En 2020, Daniela publie sa première biographie : Isabel's Two Worlds, qui raconte l'histoire courageuse d'une fille qui est née dans l'arrière-pays du Minas Gerais, en 1924, et à 9 ans a vu et entendu des choses que personne ne comprenait. L'une des journalistes les plus récompensées de sa génération, Daniela a plus de 20 prix nationaux et internationaux à son actif, dont trois prix Esso, l'American Knight International Journalism Award (2010) et le prix IPYS de la meilleure enquête journalistique en Amérique latine (2009). ).

Tribun des Mines

Daniel Pinto Correia
La mention élogieuse de l'association professionnelle porte son nom
L'un des créateurs et premier président de l'Association commerciale entre 1897 et 1900. Né à Juiz de Fora en 1879, il était le fils de José Pinto Correia et de D. Maria das Mercês Correa.
Industrielle et marchande, son usine "Grande Fábrica a Vapor" de meubles, lambrequins et fleurons pour chalets, literie et tourneurs était située Rua Halfeld nº 13 et s'appelait Corrêa e Comp. a reçu la médaille de 2e classe et la grande médaille d'or. Le secteur commercial était au magasin "A Competidora" sur la Rua da Imperatriz (Marechal Deodoro) nº s 12 et 13. de l'Empereur (Christ) par M. Daniel qu'il essayait de prouver l'existence de l'or à cet endroit.
Paulino de Oliveira dit dans ses "Ephémérides": "13 juin 1897- Un groupe de marchands, dirigé par M. Daniel Pinto Correa, fonda l'Association commerciale Juiz de Fora dans son bureau, qui peu après emménagea dans un immeuble loué , à 39, rue Halfeld.

Livre du centenaire de l'Association commerciale par Wilson de Lima Bastos, 1996

Dante Antonio Pereira
Conseiller municipal du 31/01/1963 au 31/01/1967

Dante João Bellei
Conseiller du 31/01/1951 au 31/01/1955

famille delmonte
Dominique Delmonte
Lorsque cet immigrant italien est arrivé au Brésil en 1880, il n'aurait jamais pu imaginer que, dans le futur, ses descendants occuperaient une place aussi remarquable dans le commerce de Juiz de Fora.
Domenico est né dans la petite ville d'Arcole dans la région de Vénétie au nord de l'Italie et a émigré au Brésil en 1880 accompagné de sa femme Dona Natalina. Il s'installe à Matias Barbosa et travaille dans la construction civile comme maçon. L'un de ses services fut la construction du mur du cimetière de la ville.
Ton fils,
João Delmonte, est né en 1890 et, en tant que jeune homme, il a déménagé à Juiz de Fora, pour travailler comme ouvrier à la « Fábrica dos Ingleses » à Morro da Gratidão (actuellement Morro da Glória) et est allé vivre très près, sur (actuellement) Avenida dos Andradas nº 854, presque au coin de la Rua da Glória. Tout en travaillant à l'usine, il apprend également le métier d'"Artisan Cordonnier" auprès de son père.
À l'âge de 31 ans (1921), déjà marié à Dona Ana, il s'établit Rua Mariano Procópio nº 1510, fabriquant et réparant des chaussures pour hommes et femmes, en particulier le modèle Luiz VX, très populaire à l'époque. . Il a également fabriqué des silex pour l'infanterie de l'armée. C'est ainsi qu'est né le premier magasin Delmonte.
Les fils de João Delmonte : Paulo, Aristeu, Domingos), Fernando et Benito ont été élevés, littéralement, « derrière le comptoir », car, selon les coutumes de l'époque, la maison familiale était liée aux affaires, dans le même bâtiment.
En 1938, João a transféré l'entreprise à ses fils. Trois ans plus tard, Paulo, Romeu et Domingos ont atteint le centre de la ville avec une succursale à la Rua Batista de Oliveira nº 483. À ce moment-là, d'importantes transformations ont eu lieu dans le secteur de la chaussure : Les États de São Paulo et Rio Grande do Sul ont commencé produire à grande échelle et avec des prix plus compétitifs, ce qui a obligé la famille Delmonte à choisir de définir son activité principale comme le commerce, ce qui ne signifiait pas l'abandon total de la fabrication de certains produits dans l'immédiat.
Au fur et à mesure qu'ils formaient leurs familles, les frères Delmonte s'établirent individuellement. En 1945 commence l'expansion du groupe.
Le premier fut Paulo, l'aîné, qui à 27 ans jugea bon de créer une autre entreprise à lui, Oscária à Galeria Pio X. Puis ce fut au tour d'Aristeu, qui ouvrit son propre magasin sur la Rua Marechal, partie inférieure. En 1958, ils achètent un troisième magasin, au Marechal 388, dont Domingos est propriétaire et séparent l'entreprise, fermant le magasin Batista de Oliveira. Suivant cet exemple, chacun des autres frères s'est installé dans la ville, tous ont concouru commercialement, mais ont maintenu l'unité et le respect entre les membres de la famille et se sont soutenus mutuellement. La Famille Delmonte a toujours été à l'avant-garde du commerce de la ville en matière de technique de vente et d'innovations : Ils ont été les pionniers de l'élimination des marches aux portes des magasins, de l'informatisation commerciale et ont adopté le plan échelonné avec paiement en livrets dès cette type de vente est venu.
Domingos Delmonte , né en 1921 et décédé le 4 novembre 2019 était un commerçant né, jamais distrait de ses activités et avait une énorme capacité de négociation. Il a servi deux ou trois commerciaux en même temps et à 93 ans (2014) il gérait encore son magasin « Delmonte 388 ». Inauguré en 1943 où il travailla jusqu'à quelques jours avant sa mort.
M. Domingos était en son temps l'un des marchands les plus respectés de la ville. Toujours innovant et anticipant les tendances de l'industrie de la chaussure, il dirige ce secteur depuis des décennies.
Voir un communiqué : Comme la rue Halfeld aurait été « prise » par les banques, et par conséquent, fréquentée par de nombreux hommes, « les maris ne laissaient pas passer leurs femmes dans cette rue ». installe sa boutique rue Marechal Deodoro, entre Batista de Rues Oliveira et Barão do Rio Branco, en 1958, déclare Domingos Delmonte. Eduardo Delmonte maintient une forte présence dans le commerce de Juiz de Fora, il a diversifié son activité dans la mode et la décoration, en plus de la chaussure, il maintient plusieurs établissements en activité, tous avant-gardistes et a "Arpel" comme son plus grand exemple de réussite.
Romeu Delmonte, est né en 1920 et était un homme d'une grande sensibilité, en plus d'être un travailleur exemplaire, il a trouvé le temps de se consacrer aux arts dans ses temps libres : Poésie, peinture et musique. Il a encouragé les programmes populaires de Radio PRB-3 tels que Vesperal B-3 et Tio Teteco et a investi massivement dans la publicité. Romeu et ses fils Romeu, Orlando et Ronaldo étaient à la tête de plusieurs entreprises : Calcebem, Rodelmo, Gerkem, A Favorita, entre autres. Romeu, avait également des magasins en partenariat avec Hamilton (Hamilton Calçados) et Ulisses Automar. Romeu Gerkem Delmonte a été le premier commerçant à utiliser des ordinateurs dans des plans de versement à Juiz de Fora.
Aristeu Delmonte est né en 1927 et il a deux intérêts dans la vie : la famille et les affaires et il s'y consacre de tout cœur, il continue à diriger son magasin « Cendrillon ». Lui et ses fils José Carlos, Cláudio et Rogério ont défendu d'autres drapeaux : Cinder et Pé et ainsi de suite.
Fernando Delmonte est né en 1925, il était un « gentleman », homme de comptoir et servait les clients avec « fineses » et courtoisie, « Real Calçados » et « Máfia » étaient des marques dans le secteur de la chaussure défendues par Fernando et son fils João Fernando. .
Paulo Delmonte est né en 1918 et était un grand connaisseur de l'art de fabriquer une bonne chaussure, étant un excellent modeleur, en tant que marchand de chaussures, il a conservé la même compétence. Avec leurs enfants, Leonardo et Paulinho ont créé plusieurs entreprises commerciales : « Augusta Calçados », « Leo Calçados », « Ela », « Paulo's », « Wilson Calçados », « New Sport » et « Popular ».
Benito Delmonte est né en 1935 avec des problèmes congénitaux et est parti prématurément, même s'il est venu s'établir avec le magasin "Selber" qui a été laissé avec son fils Rogério.
La cinquième génération de la famille Delmonte, fils d'Eduardo, se présente au marché en montrant sa force et sa contemporanéité : le fils,
Eduardo Delmonte Jr , gère 3 magasins Arezzo et sa fille, Mariana Delmonte , est en charge de la gestion de la franchise Luz da Lua.Ils gèrent également Jade Interiores, axé sur le mobilier et la parure, et Jade Concept, dédié au homewear (homewear), à la mode féminine et au bistrot.
João Delmonte, le cordonnier de Mariano Procópio, ses enfants et petits-enfants ont créé plus de 40 entreprises dans le secteur de la chaussure à Juiz de Fora, dont beaucoup en plein essor et marquant une forte présence dans le commerce de la ville au début du XXIe siècle.

Déclaration de Romeu Gerkem Delmonte à l'auteur

Jour et nuit, bar et café
C'était une maison très diversifiée, en plus d'un bar et d'un café, c'était aussi un point pour jouer des cigares et vendre des feux d'artifice, surtout aux dates de forte consommation de ce produit comme NS Aparecida et le Nouvel An. Il fonctionnait en fait jour et nuit, commençait ses activités vers 4h00 du matin et se terminait à 23h00. Vos partenaires Paulo Pullig, Rodolfo et M. Guimar se sont relayés. L'heure « prime » de la maison se situait vers 5h00-6h00 du matin quand se rencontraient ceux qui arrivaient dans la région pour commencer leurs activités de travail et ceux qui terminaient la nuit : bohèmes, joueurs de cartes, ivrognes et putains. Il y avait tout.
Antonio José Antonio , un Libanais de Mariano Procópio, a aidé à la vente, principalement d'articles de cigares et des frères Célio Queiros et Hélio Queiros (plus tard diplômé en droit, devenu avocat de la classe) ont écrit le Jogo do Bicho. J'ai fréquenté cette maison pendant environ 40 ans.

Texte de l'auteur

Dilermando Cruz, Dilermando Martins de Costa Cruz
Rue de Quartier de Lourdes
Conseiller municipal 1905 à 1911
Né à Leopoldina, Minas Gerais, en 1879, fils de l'avocat Custódio Martins da Costa Cruz et de son épouse Gabriela Souza Lima da Costa Cruz. Il a étudié au Colégio Mineiro d'Ouro Preto et au Ginásio Mineiro de Barbacena. Il est diplômé en droit, exerçant en 1917 le poste de chef de la police à Rio de Janeiro, à l'époque capitale de la République.
À Leopoldina, au tournant des XIXe et XXe siècles, il fonde et dirige le journal Folha do Leste. Il s'installe à Juiz de Fora, où il fonde en 1906 le journal Correio da Tarde, dont il est le directeur. Il a également écrit pour d'autres périodiques tels que le magazine O Mensal de Barbacena, O Pharol de Juiz de Fora, ainsi que pour les journaux O Paiz et Gazeta de Notícias à Rio de Janeiro.
À Juiz de Fora, Dilermando a participé intensément à la politique, en tant que tribun populaire et médico-légal. Il était le chef politique de son parti. Toujours à Juiz de Fora, il participe à l'élite intellectuelle de l'époque ; il fit partie du groupe de lettrés qui fonda l'Academia Mineira de Letras le 25 décembre 1909. Il participa au premier conseil d'administration de l'AML, intégrant la Commission des comptes. Dilermando Cruz a occupé la chaise numéro 15, dont le patron est Bernardo Guimarães
Dilermando était marié à Maria Antonieta Lobato da Costa Cruz et père de l'homme politique et médecin de Juiz de Fora, Dilermando Martins da Costa Cruz Filho. Il mourut en 1935 à Juiz de Fora.

Wikipédia

Dilermando Cruz, médecin, Dilermando Martins da Costa Cruz Filho
L'extrémité nord de l'Avenida Rio Branco a reçu, par la loi, la dénomination de "Garganta do Dilermando".
Conseiller de 1936 à 1937, du 31/01/1951 au 31/01/1955 et Maire de 1947 à 1950
(Juiz de Fora, 1907 - 1971) était cardiologue et homme politique. Médecin de la police militaire de l'État de Minas. Représentant de l'Etat puis Fédéral. Journaliste pour "Correio da Tarde". Secrétaire aux Transports de l'État de Minas Gerais en 1952. Industrie de la maille – Malharia Sedan et propriétaire de Fábrica de Gesso Crê, fondée en 1910. Championne de tir sous-marin et passionnée de tir volant.

Wikipédia

Diocleciano Teixeira de Carvalho
Ed, Santa Helena, construite en 1957, appartenait au Dr Diocleciano Teixeira de Carvalho, d'Araraquara. Il a abrité le Café Astória, la Casa Lessa, la Sapataria Clark et la Casa do Café et a été construit par Cia Pantaleone Arcuri. Actuellement, en 2017, il est occupé par la boutique de mode féminine Arpel d'Eduardo Delmonte.

http://www.ricardoarcuri.com.br/jfora/ruaspracas/halfeld/index.html

Distillerie Astro

Francisco Gomes Senra
Francisco Gomes Senra est né à Póvoa do Varzim, Portugal, en 1893, et mort à Juiz de Fora, en 1947, propriétaire de Destilaria Astro, situé sur l'Avenida Sete de Setembro. La distillerie a produit de nombreuses boissons qui ont eu du succès même après sa mort, comme le vinaigre d'Orléans.

Maria Clara Castellões groupe História de Juiz de Fora sur Facebook

Detlef Krambeck
Il est né en 1850 en Allemagne et mort en 1912 à Juiz de Fora. Le patriarche de la famille Krambeck s'installe à Juiz de Fora en 1872, travaillant d'abord comme segeiro (fabricant de voitures pour le transport par diligence) et s'installant plus tard dans la zone de tannage des cuirs et peaux. À différents moments historiques, pour répondre à leurs demandes, la famille Krambeck acquiert trois propriétés rurales démembrées de l'ancienne ferme Tapera, « Retiro Novo », « Retiro Velho » et « Sítio Malícia ». Ces trois propriétés forment ensemble la célèbre « forêt de Krambeck ».
Sous la direction de M. Detlef Krambeck et de ses assistants João et Henrique Surerus, un temple a été construit (église luthérienne sur la place Agassis) qui a été inauguré dans la ville le 30/06/1885.

Deusdedit Salgado, Deusdedit de Paula Teixeira Salgado
Avenue dans le quartier de Salvaterra
Juiz de Fora s'est arrêté pour assister à l'inauguration d'un bâtiment. C'était le premier bâtiment de la ville à atteindre l'impressionnant jalon Baependy de 12 étages. Cet édifice fut le pionnier d'une série de gratte-ciel qui marqua le processus de verticalisation de la ville et modifia définitivement le paysage du Centre. Outre sa hauteur, l'audacieuse entreprise innovait aussi, puisqu'elle était entièrement dédiée aux locaux commerciaux. Selon les mots de l'architecte Jean Kamil, la présence d'un gratte-ciel sur la rue Halfeld symbolisait la maîtrise des techniques d'ingénierie et la réalisation du progrès. "C'est une façon de dire qu'il y a du développement dans ma ville", résume-t-il.
L'ouverture de Baependy, le 16 mai 1948, a été rapportée dans des journaux tels que "O Globo" et "Gazeta Comercial" comme un événement qui a anticipé de deux ans le début du centenaire de l'émancipation politique de Juiz de Fora. À l'époque, pas même dans la capitale du Minas Gerais, Belo Horizonte, il n'y avait des immeubles aussi hauts. Un peu plus d'un an plus tard, le 31 mai 1949, le bâtiment Primus est inauguré, également de 12 étages, mais destiné à un usage résidentiel. Les deux bâtiments ont été conçus par l'ingénieur Deusdedit de Paula Teixeira Salgado, propriétaire de Construtora Salgado SA
La présence de ces deux gratte-ciel, en effet, a généré une curieuse perspective dans le Centre de Juiz de Fora. À côté des maisons de ville à deux étages et des maisons à un étage, deux véritables géants du béton vivaient ensemble. Une photo panoramique, prise quelques jours après l'ouverture de Primus, montre à quel point les deux bâtiments différaient du reste des bâtiments.
dépassement technologique
"A l'époque, la construction de ce bâtiment était considérée comme folle par mon père", raconte Carlos Alberto Salgado, fils de Deusdedit Salgado, qui n'avait que 12 ans lorsque le bâtiment a été inauguré. L'ingénieur se souvient d'un curieux épisode concernant son grand-père maternel, le fermier Francisco Evangelista Fonseca : il a été approché par des connaissances qui lui ont demandé de convaincre leur gendre de ne pas construire le bâtiment. Le groupe a estimé qu'il était peu probable qu'un bâtiment de cette hauteur se tienne debout. La crainte était que l'aventure se termine par une tragédie. (...)

L'histoire vue d'en haut. Source: Tribuna de Minas - 05/04/2008

Dias Cardoso, Co.
Paschoal Dias Cardoso
Rue du quartier Vila Ideal
Bâtiment construit à Rua Halfeld, 342 et 348, par Cia. Pantaleone Arcuri, en 1916 pour Cia. Dias Cardoso dans le style européen du XXe siècle. Son propriétaire, M. Paschoal Dias Cardoso, un Portugais très respecté et aimé, est arrivé à Juiz de Fora au début du siècle. Il possédait un parc graphique, une librairie, de la papeterie, des fournitures de bureau, une production commerciale de livres, en plus de vendre des instruments de musique qui étaient exportés vers d'autres villes du Minas Gerais et dans tout le pays.

Access.com

Djalma de Morais, Djalma Bastos de Morais
Né à Maceió le 16 mars 1937, il est homme politique et ingénieur. Adolescent, il s'installe à Barbacena, dans la région de Campo das Vertentes, dans l'État de Minas Gerais, où il étudie à l'École préparatoire des cadets de l'air.En 1960, il devient officier de l'armée à l'Escola Militar das Agulhas. Negras à Resende-RJ.
En 1966, il est diplômé en ingénierie de l'Instituto Militar de Engenharia (IME).
Il était le directeur de TELEMUSA à la fin des années 60 et l'un des responsables de l'implantation de cette société à Juiz de Fora.
En octobre 1990, sous l'administration du gouverneur de Minas Newton Cardoso, il est nommé à la présidence des télécommunications de Minas Gerais (Telemig), et occupe ses fonctions jusqu'en 1993, sous la deuxième administration d'Hélio Garcia.
En juillet 1995, il est nommé vice-président de Petrobras Distribuidora, où il restera jusqu'en 1995.
Il a également été ministre des Communications du président Itamar Franco
Il est décédé le 25 décembre 2020.

Dnar Rocha
Centre culturel de Mariano Procopio
(planche MG 1932). Peintre. Établi à Juiz de Fora, Minas Gerais, en 1952. En 1953, il commence sa formation artistique à la Société des Beaux-Arts Antônio Parreiras. Il fait partie du groupe d'artistes plasticiens composé de Heitor de Alencar, Silvio Aragão, Nelson Bracher, Renato de Almeida, Décio Bracher, Renato Stehling. Pendant deux ans (1958/1960), il a vécu à Rio de Janeiro. À partir de 1960, il s'installe à Juiz de Fora où il organise plusieurs expositions. Participe à plusieurs expositions au Brésil, ayant des œuvres à l'Ambassade du Brésil à Washington, à l'Ambassade du Sénégal au Brésil, entre autres. En commémoration des 47 ans de sa carrière, qui a eu lieu en 2000, il a reçu le titre de citoyen d'honneur de Juiz de Fora.

http://enciclopedia.itaucultural.org.br/pessoa10324/dnar-rocha

Dionizio Fortes
Conseiller municipal de 1857 à 1861

Domentianno Alves Garcia, Lieutenant
Conseiller municipal de 1853 à 1864
Elle est une descendante de l'un des célèbres Três Ilhoas, Júlia Maria da Caridade, mariée à Diogo Garcia. Les Três Ilhoas étaient des sœurs qui ont émigré de l'île de Faial dans l'archipel des Açores, sont arrivées au Brésil en 1723 et sont devenues des figures légendaires du Minas Gerais : Antônia da Graça, Júlia Maria da Caridade et Helena Maria de Jesus.
Il était le fils de Manoel Alves Garcia et Anna Maria de Jesus, décédé le 18 mai 1860, dans la ferme São Joaquim, à Água Limpa, Juiz de Fora, municipalité actuelle de Coronel Pacheco. Il était marié à Constança Maria do Nascimento.

Wikipédia

Domingues Antonio Lage
Conseiller municipal de 1861 à 1868

Domingos Caputo
Conseiller du 01/01/1993 au 31/12/2004

Domingos Nery Ribeiro
Président du conseil d'administration et agent de l'exécutif de 1873 à 1876

Domingos Vidal Barbosa Lage, Dr.
Fils de Manuel Vidal Lage, un inconfident, il est né en 1761. Il a d'abord étudié à São João Del Rey et plus tard à Rio de Janeiro. Le 03/11/1781, il reçut, sous forme de sesmaria, une demi-lieue de terrain vacant dans l'arrière-pays du Rio Pomba.
Il a étudié la médecine à Montpellier, Bordeaux, France, où il a obtenu son diplôme de chirurgien. De retour au Brésil en 1789, il vit « plus de ses ressources agricoles que de sa clinique », comme l'écrit Joaquim Norberto.
C'est Domingos Vidal, beau-frère du colonel Francisco Antônio de Oliveira Lopes, par qui il a appris les plans de la conspiration du Minas Gerais. C'est aussi Vidal qui raconta à José de Rezende Costa Filho et au colonel Francisco Antônio, l'épisode du complot entre José Joaquim da Maia et Jefferson, alors ministre américain à Paris, au sujet de l'indépendance du Brésil. Cette révélation coûtera cher à Domingos Vidal, car les juges devassa sont de plus en plus mécontents de ses témoignages, et de la lettre de dénonciation qu'il rédige le 9 juillet 1789, dans laquelle il compromet terriblement son beau-frère et le jeune Rezende Costa Filho. Ce dernier ne lui pardonna jamais sa dénonciation, puisqu'en 1846, il était encore accusé dans la Revista do Instituto Histórico, d'avoir vendu la dénonciation pour un habit du Christ et un ténor de deux cent mille réis (200 000$), prix qu'il attendus à Lisbonne, sans jamais pouvoir les recevoir. Le 19 juillet 1789, dix jours après la rédaction de sa lettre de dénonciation, Domingos Vidal de Barbosa est arrêté à Juiz de Fora et conduit à la prison de Vila Rica par le porte-drapeau Francisco Xavier Machado. Là, il a subi plusieurs interrogatoires et a ensuite été envoyé à Rio de Janeiro, où il a suivi escorté, avec le père José Lopes comme compagnons de voyage. Arrivé là, c'était le jeune médecin enfermé dans les cachots de la forteresse de Conceição, en compagnie de José Álvares Maciel. Il déclare dans les Autos da Inconfidência que, bien que médecin-chirurgien, il se consacre, à l'époque, à l'agriculture. Condamné à mort, par sentence du 19 avril 1792, Domingos Vidal voit sa peine commuée en exil de dix ans sur l'île de São Tiago de Cabo Verde, en Afrique, où il débarque début janvier 1793. São Tiago résidait chez les Brésiliens Le Dr João da Silva Feijó, un éminent naturaliste, qui était là en tant que secrétaire du gouverneur Francisco José Teixeira Carneiro. Tous deux ont accueilli l'exil avec attention et affection, et Domingos Vidal, toujours dans l'espoir de retourner au Brésil, a été emmené au Convento de São Francisco, dans la ville de Ribeira Grande, où il est mort à l'âge de 32 ans, de fièvres endémiques dans le région, en août 1793, environ huit mois après son arrivée.

HISTOIRE DE JUGE ILLUSTRÉE WordPress.com.

Dorothée Verneck
Le 17 avril 1996, la ministre Doroteia Verneck a annoncé l'installation de Mercedes Benz à Juiz de Fora de sa première usine en Amérique du Sud, dédiée aux voitures particulières, le véhicule de classe A. Les travaux ont commencé en 1997.
L'usine a ouvert ses portes en 1999, pionnière dans l'adoption de nouvelles techniques de production, d'organisation et de travail d'équipe, atteignant l'un des standards de qualité les plus élevés parmi toutes les unités automobiles de marque MERCEDES-BENZ dans le monde et est considérée comme l'une des plus importantes de l'industrie automobile latino-américaine.

Douglas Fasolato, Jorge Douglas Alves Fasolato
Diplômée en droit, Faculdades Integradas Vianna Junior en 1992, spécialisation en gestion culturelle : culture, développement et marché par le Centro Universitário Senac (2019) et maîtrise en mémoire et collection par la Fundação Casa de Rui Barbosa (2020). Directeur de la Casa da Marquesa de Santos - Musée de la mode brésilienne, successeur du Musée du premier règne, et coordinateur général des actions et activités des musées de la Fondation des arts Anita Mantuano de l'État de Rio de Janeiro (FUNARJ). Il a été directeur surintendant de la Fondation du Musée Mariano Procópio (2009-2017), où il a coordonné de nombreuses recherches, préservation, éditions de publications, expositions, cours, séminaires et autres événements culturels, éducatifs et scientifiques.
Il a travaillé dans le domaine de la communication, dans lequel il a commencé sa carrière professionnelle en tant que chroniqueur dans les journaux suivants : Correio da Mata, Diário da Manhã, Jornal de Domingo, Folha da Região, Hoje em Dia (1992-1994), O Fluminense, Folha da Região, Jornal dos Sports, Portal JF Service et Acessa (1998-2004). Panorama et JF Aujourd'hui (2003-2009).
Expert dans le domaine de l'histoire et de la muséologie, avec un accent sur l'histoire culturelle, travaillant dans les domaines suivants : musées d'histoire, histoire culturelle, histoire urbaine, histoire du paysage, gestion du patrimoine culturel, culture matérielle, culture visuelle, musées et expositions. Conseiller du Conseil municipal de la culture (CONCULT) entre 2011 et 2017. Il est membre du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), du Conseil des entreprises pour les affaires culturelles de l'Association commerciale de Rio de Janeiro (2017-2019 ) et du Conseil d'État des politiques culturelles à Rio de Janeiro (2019-2020).
Coordonnatrice du musée chez FUNARJ
Directeur chez Casa da Marquesa de Santos - Musée brésilien de la mode
Il a travaillé comme directeur au Musée Mariano Procópio
A travaillé comme conseiller au CESAMA
Vit à Rio de Janeiro (2021)

Duarte de Abreu, docteur
École publique Duarte de Abreu à Vitorino Braga, Rua Duarte de Abreu à Mariano Procópio
Conseiller municipal de 1895 à 1900 et de 1908 à 1915, président du conseil et agent exécutif de 1905 à 1907.
Il est né à Sabará (MG) le 3 juin 1859, fils de Sinfrônio de Abreu. Médecin diplômé de la Faculté de Médecine de Rio de Janeiro, il exerça à Juiz de Fora, où il devint agriculteur. Il entre dans la vie politique en 1904, en 1909 il est élu député fédéral du Minas Gerais. Prenant son siège à la Chambre des députés en mai de la même année, il y resta jusqu'en décembre 1911, date de la fin de la législature. Après avoir quitté la Chambre, il a continué à résider à Rio de Janeiro, où il a travaillé au 2e Bureau d'enregistrement des titres et des documents jusqu'à l'année de sa mort. Il mourut à São Paulo le 3 mars 1928. Il était marié à Albertina Wiguelin.

ABREU, Duarte de - CPDOCcpdoc.fgv.br

Duc Bicalho
A créé l'hymne Juiz de Fora avec une mélodie de Lindolfo Gomes
Chef d'orchestre Cincinnato Duke Bicalho
1887/1975, Né à Teófilo Otoni
A reçu la médaille de l'Ordre de l'Ingénieur Henrique Fernando Halfeld
Juiz Fora personnalité en 1967.
Hymne
Vive la Princesse des Mines
Vive la belle Juiz de Fora
qui marche au premier plan
Du progrès sur la route
des villes brésiliennes
étant le plus industriel
Dans la culture et au travail
Ne crains pas un autre rival
tes enfants laborieux
vous assurer de l'avenir
Pour voir son grand
Ils n'ont jamais de mains pour mesurer...
Nous avons applaudi, nous avons donné des fleurs
Aux charmes de la Princesse
Elle est riche et exquise
De poésie et de beauté
C'est la ville acclamée
Du travail et de l'éducation
C'est du Christ béni.
Sous le soleil de la religion

Edgar Quinet, Docteur, Edgar Quinet d'Andrade Santos
Rue de Morro da Gloria
Né en 1881, décédé en 1965. Fils d'Antônio Augusto de Andrade Santos et de Maria Henriqueta de Andrade Santos. Marié à Maria da Conceição Monteiro de Andrade Santos. Chirurgien. Chef d'infirmerie à Santa Casa pendant plus de 50 ans. Président de la Société de Médecine et Chirurgie de Juiz de Fora. Du Conseil Egregious de la Sainte Maison. Homme d'affaires. Investisseur immobilier, financier et en fonds propres. Ouverture de la rue Oswaldo Cruz. Producteur de café à "Glória", à Belmiro Braga.

https://www2.ufjf.br/clioedel//files/2009/10/COD98009.pdf

Edmundo Schmidt
Conseiller municipal de 1908 à 1911
Fondatrice de la clouterie São Nicolau, la troisième de cette spatialité au Brésil.

Eduardo Batista Fanno et Félix Schmidt
Le 20/10/1880, le gouvernement provincial décida d'installer une ligne de chemin de fer pour le transport de passagers et de marchandises dans la ville avec des tramways à traction animale, créant ainsi la Cia. Ferrocarril Bond de Juiz de Fora. Le 11/02 de la même année, les deux intéressés ont demandé au conseil municipal l'autorisation de commencer à poser les voies le long de la Rua Direita.
Le 15/11/1881, la pose des voies entre Ponte do Queiroz sur Rua Direita et Largo da Estação, en passant par Rua da Imperatriz (Marechal Deodoro) a commencé. Le 23/01/1887, un nouveau tronçon de la ligne de tramway est inauguré : Largo da Estação, Halfeld,
Comércio, Espírito Santo, jusqu'à la connexion à la ligne existante sur la Rua Direita. Le quartier de Tapera bénéficie d'une ligne de tramway le 22/07/1890.
Cia. Ferrocarril Bond de Juiz de Fora est transféré à Firma Fritz, le 26/04/1897 et, le 28/02/1898, la collection est acquise par Cia. Mineira de Eletricidade, qui le 06/07/1906 échange l'animal traction pour les tramways électriques, au départ du pont de la rue Halfeld. Le 06/03/1927, les lignes Botanágua ont été inaugurées avec deux succursales : Costa Carvalho et Vitorino Braga.
La ligne de tramway qui commençait à Rua Direita, à Alto dos Passos, se terminait à côté de Fábrica de Cerveja José Weiss.

ttps://www.novomilenio.inf.br/santos/bonden18.htm

Eduardo de Meneses, Eduardo de Meneses Filho, docteur
Rue de São Mateus
Conseiller municipal de 1916 à 1930. Il est élu maire en 1936 et termine son mandat un an plus tard avec le coup d'État de l'Estado Novo le 11/10/1937.
Né en 1886 à Rio de Janeiro et mort en 1958. Il est diplômé en droit. Il a été fondateur de la section du Rotary club local, procureur général et juge à la Cour d'appel de l'État de Minas Gerais. Il a été secrétaire de la Juiz de Fora Law School en 1914. Directeur du Juiz de Fora Gymnasium en 1917. Il a été président du Juiz de Fora Gymnastic Club. Il faisait partie du Conseil des Amis du Musée Mariano Procópio.

340.Eduardo de Freitas, Eduardo Jorge Vidal de Freitas
Conseiller du 31/01/1955 au 31/01/1959 et du 31/01/1963 au 31/01/1988
Né le 23 avril 1924 et décédé le 24 août 1999.

Eduardo de Freitas, Eduardo José Lima de Freitas, médecin
Conseiller du 01/01/1993 au 31/12/2008 (Maire du 01/01/1997 au 01/01/1999), Adjoint au Maire du 01/01/2009 au 31/12/2012
Il est né à Juiz de Fora le 25/09/1952, fils d'Eduardo Jorge Vidal Freitas, conseiller à Juiz de Fora et de Maria da Conceição Lima. Il a épousé Angélica Maria Salles et a trois enfants.
Il est diplômé en médecine, se consacrant à la médecine intensive, à Santa Casa et est employé de la Poste et du Télégraphe.

Eduardo Novy, Eduardo Fonseca Novy
Conseiller du 01/01/2001 au 31/01/2008, PSC et PTB
Il est né à Santa Luzia, Minas Gerais, en 1947. Il a été directeur de l'Union rurale de Juiz de Fora et technicien qui a occupé la direction de la Société d'assistance technique et d'extension rurale de Minas Gerais, (EMATER-MG).
Son rôle d'édile était principalement axé sur le milieu rural, les gestions développées par lui avec l'exécutif ont fourni des réalisations telles que l'arrivée d'eau traitée à Caeté et l'électrification de localités plus reculées. Parmi les lois de sa paternité, celle qui détermine la Mairie à mettre à la disposition des entités d'assistance de la commune, considérées d'utilité publique, les équipements saisis par l'inspection. De même, il existe également une règle de sa paternité qui prévoit le don de nourriture saisie à des entités d'assistance, après analyse par des techniciens de la mairie. Il est décédé en 2013.

http://www.camarajf.mg.gov.br/noticias.

Eduardo Teixeira de Carvalho Hongrie
Conseiller municipal de 1873 à 1876
Deux frères hongrois, João Carlos Hofbauer et José Hofbauer, nés dans le village de Tasswitz, en Moravie, sont arrivés au Brésil au début du XIXe siècle et ont cherché la ville de Bananal, province de São Paulo jusqu'en 1830 lorsque José est allé à l'exploitation minière ville de Santo Antonio do Paraibuna, où il acquit la ferme de coings et épousa Guilhermina Teixeira de Carvalho, laissant une nombreuse progéniture. Les frères ont adopté le nom de famille Hongrie. L'un des enfants de José était Eduardo Teixeira de Carvalho Hungria qui a épousé Maria Leopoldina Lage.

http://www.selwa.com.br/gen/pafg239.htm

Éloi Praxedes Braga
Conseiller municipal de 1901 à 1907

Elpidio Farias
Conseiller du 31/01/1955 au 31/01/1959

Emerenciano Pereira de Almeida
Conseiller municipal de 1905 à 1907

Emerson Beloti, Emerson Beloti de Sousa
Directeur commercial chez José Beloti de Souza & Cia. Ltda., il est diplômé en administration des affaires à la Faculdade Machado Sobrinho et en droit à la Faculdades Integradas Vianna Júnior.
Il a été vice-président directeur de la Fédération commerciale du Minas Gerais.
Il est président du Syndicat des employeurs de Juiz de Fora, depuis 2007 et en 2009, le syndicat a été autorisé par le ministère du Travail et de l'Emploi à élargir sa base représentative, en aidant également les entreprises de commerce de gros et de services. L'année dernière, lors de la commémoration du 60e anniversaire de Sindicomércio-JF, une nouvelle salle du conseil et des espaces pour le fonctionnement de nouveaux départements ont été inaugurés au deuxième étage de l'édifice Dona Liú.

Site du syndicat

Emílio Esteves dos Reis
Conseiller municipal de 1901 à 1904

Ernesto de Andrade Braga
Conseiller municipal de 1887 à 1889
La Banco Popular de Minas a été fondée le 24 mars 1891, Rua Direita no. 47, par Bernardo Mascarenhas, Constantino Paletta et Henrique Vaz.
Ses administrateurs étaient : le président, le Dr Fernando Lobo ; secrétaire, lieutenant João Tomaz Alves; directeur, le Dr Gustavo Pena. Le Conseil fiscal a été formé par : Barão de Santa Helena, Dr Francisco Bernardino et Dr Cornélio Goulart Vilela Bueno et suppléants : Barão do Retiro, Dr Francisco Isidoro Barbosa Lage et Colonel João José Vieira.
Cette banque fonctionnait encore en 1892, lorsque, le 15 août, elle tint une assemblée, qui semble avoir été la dernière. Il avait le Dr Ernesto de Andrade Braga comme président et M. Antônio Mendes Barreto comme directeur.

Ernesto Guidice Filho
Professeur d'histoire avec une formation en archivistique, il a trouvé dans les archives du Granbery Methodist Institute, que son premier recteur John McPhearson Lande a enregistré en 1893 qu'il y avait eu l'introduction du "football et du tennis" à Granbery. L'entrée suivante, de la même année (24 juin), parle du « field day », un événement avec plusieurs compétitions d'athlétisme, de cricket et de « football » entre étudiants. Preuve que le premier match de football au Brésil a eu lieu à Juiz de Fora.

http://globoesporte.globo.com/mg/zona-da-mata-centro-oeste/noticia

Ernesto Nogueira Vellasco de Gama
Conseiller municipal de 1864 à 1868.
Fils du colonel Inácio José Nogueira da Gama et Ana Joaquina Almeida da Gama et marié Ludovina.

Estevão Banhatto
Conseiller du 31/01/1955 au 31/01/1959

Eudoxie Infante Vieira
Rue dans le quartier Barreira do Triunfo
Adjoint au Maire de 1947 à 1950 et Maire du 05/01/1951 au 31/01/1951
Il est né en 1900, à Mar de Espanha, MG, d'Olívia et Afonso Infante Vieira. Il a obtenu son diplôme en 1925, obtenant son doctorat avec la thèse « Ansiedade e Angústia », à la Faculté nationale de médecine de Rio de Janeiro, où il est resté une autre année spécialisée en pédiatrie, en tant qu'assistant du Dr Calazans Luz. (MG), venant, en 1935, à Juiz de Fora pour pratiquer la pédiatrie. Il rejoint le Lactário São José en 1936, étant l'un des premiers à diriger l'un des postes de garde d'enfants de l'institution. Il a été directeur de la santé publique et de la salle d'urgence municipale de Juiz de Fora. Orateur éloquent et politique, il a été adjoint au maire de Juiz de Fora sous le Dr Dilermando Cruz (1947-1951), également médecin, après avoir assumé le poste de maire lorsque le titulaire a démissionné pour se présenter à la députation fédérale. En 1957, il organise le Département social des mineurs à MG, qu'il dirige jusqu'en 1959. Il est l'un des représentants du Brésil à l'ONU, nommé par le président Juscelino Kubitschek, dont il est coreligionnaire et ami. Il a été membre de l'Académie nationale de médecine et a présidé la Société de médecine et de chirurgie de Juiz de Fora. Il est mort en 1975.

histoire-de-la-pediatrie-dans-le-minas-gerais-corecao-12-07-2018.pdf

Eugenio Teixeira Leite
Rue de Matias Barbosa
Conseiller municipal de 1895 à 1898

Eugênio Teixeira Leite Filho
Il est né à Juiz de Fora en 1880, fils de l'avocat Dr Eugênio Teixeira Leite et D. Ambrosina Alves Barbosa Teixeira Leite était le petit-fils du baron de Vassouras, Francisco José Teixeira Leite.
Industrie laitière et propriétaire de la ferme Boa Vista, l'une des plus importantes de la région dans le district de Sarandira. Il était marié à D. Maria Eugenia Leite Ribeiro Teixeira Leite. Il a été président de l'Association du commerce de 1912 à 1915.

Livre du centenaire de l'Association commerciale par Wilson de Lima Bastos, 1996

Eustachio Antonio Ferreira
Conseiller municipal de 1898 à 1900

Evandro Rosa Carneiro
Conseiller municipal du 31/01/1963 au 31/01/1967

Evaristo Pereira Godinho
Conseiller municipal de 1892 à 1898

Eugenio Fontainha, commandant
Rue de Manuel Honorio
Né en 1848 dans l'ancien quartier de Juiz de Fora, Matias Barbosa (aujourd'hui municipalité autonome). En raison de son amour pour la culture et de ses actions caritatives et de ses dons, il a été appelé "Mecenas de Juiz de Fora" et par d'autres le "Mecenas Mineiro".
Riche industriel, il a acheté la Fazenda da Divisa à la Banco de Credito Real, qui lui a été donnée par Manuel Honório de Campos qui, à son tour, l'avait achetée au major Guilherme Justino Halfeld-gendre d'Eugênio. Cette ferme était l'endroit où se trouve aujourd'hui le quartier de Bairu. Entre ses mains, cette ferme était le point culminant des événements artistiques et culturels de la ville. C'était un point de rencontre pour les artistes visuels, les écrivains et les musiciens.
Il fut l'un des fondateurs de la Sociedade Beneficente de Juiz de Fora le 15 mars 1885 ; était commissaire de la Loterie municipale.
Président de l'Association commerciale de 1897 à 1900.
Il était marié à D. Cândida Halfeld Fontainha.

Livre du centenaire de l'Association commerciale par Wilson de Lima Bastos, 1996
F
Fabio Néry, Dr.
Avenue de Vila Ozanan
Né à São José das Três Ilhas (Belmiro Braga). Dans les deux administrations du maire Adhemar de Andrade, il a été adjoint au maire et directeur de la Division de l'éducation et de la culture. Il a travaillé comme officier de cabinet au Secrétariat de la circulation et des travaux publics, dans le gouvernement de Juscelino Kubitschek.
Diplômé en droit et en médecine dentaire, il a été professeur et directeur de la Faculté de médecine dentaire à l'UFJF.
Il a été membre du conseil de conservation de la Fundação Hermantina Beraldo, du Rotary Club Juiz de Fora – Sul et président du Conseil délibératif d'Educandário Carlos Chagas.
Il a présidé la Juiz-Forana Basketball League et la Mineira Cycling League, a été vice-président du Clube Juiz de Fora pendant trois mandats et a été membre du Conseil délibérant du Tupynambás Futebol Clube pendant 30 ans.

http://www.camarajf.mg.gov.br/noticias.php?cod=3982

Fagundes Neto, Fernando Jorge Fagundes Neto
Rue de Quartier Filgueiras
Né à São Gonçalo (RJ) le 9 août 1925, fils de l'industriel José Fagundes Neto et de Rute Pinto Fagundes Neto.
Il a fait ses premières études au Colégio São Bento, à Rio de Janeiro (DF). Entré à l'école d'ingénieurs de Juiz de Fora (MG), il se distingue comme leader étudiant lié au Parti travailliste brésilien (PTB) et obtient son diplôme d'ingénieur civil et électrique en 1949.
Industrial, directeur de Cedro — Crédito e Financiamento, président de VAMOSA — Corretora de Títulos et Indústrias Reunidas Fagundes Neto, en plus de vice-président de CONSAÚDE, a également été président de l'Union des industries métallurgiques, vice-président du Centre industriel de Juiz de Outside et du Centre industriel de Minas Gerais et directeur de la Fédération des industries de l'État de Minas Gerais et de la Confédération nationale de l'industrie.
En 1963, il est nommé directeur du BDMG par le gouverneur Magalhães Pinto (1961-1966). Avec l'extinction des partis politiques par la loi organique nº 2 (27/10/1965) et l'instauration du bipartisme, il rejoint l'ARENA, parti soutenant le régime militaire.
En 1964, il quitte BDMG et s'installe à Juiz de Fora, où il occupe jusqu'en 1966 les fonctions d'administrateur régional de 108 municipalités du Minas Gerais, situées dans cette ville.
Il a été membre de la curatelle du Fundo de Garantia do Tempo de Serviço (FGTS) et, en tant qu'homme d'affaires, a effectué une mission économique au Moyen-Orient en 1966, participant également, en tant que vice-président, du Congrès latino-américain des industriels, au Mexique, en 1968, ainsi qu'à la Conférence tripartite de l'Organisation internationale du travail (OIT), à Genève, en Suisse, en 1969. Cette même année, il représente l'Association des industries latino-américaines à Montevideo.
Aux élections de novembre 1970, il est élu député fédéral.
Aux élections de novembre 1974, il est reconduit à la Chambre, mais il interrompt son mandat au début de la législature, en mars 1975, pour prendre en charge le secrétariat du trafic et des travaux publics du Minas Gerais sous le gouvernement Aureliano Chaves (1975 -1978), cumulant ce portefeuille avec celui de l'Industrie, du Commerce et du Tourisme en avril.
Fagundes Neto a été choisi par le nouveau gouverneur de Minas, Francelino Pereira, qui a pris ses fonctions en 1979, pour occuper le secrétariat de la science et de la technologie. Après l'extinction du bipartisme le 29 novembre 1979 et la reformulation du parti qui en a résulté, il n'a adhéré à aucune des associations qui ont alors émergé.
Il a quitté le Secrétariat de la science et de la technologie en février 1982 et, la même année, il est devenu président du Centre technologique de Minas Gerais. En 1985, il rejoint le PFL. En 1985, il devient vice-président de Rede Ferroviária Federal et, trois ans plus tard, assume la présidence de l'entreprise. Il a occupé ce poste jusqu'en 1990, date à laquelle, à la retraite, il a cessé d'exercer toute activité professionnelle.
Il était marié à Mariana Pacheco Fagundes Neto, avec qui il a eu trois enfants. Il a épousé Teresinha Figueiredo Fagundes Neto pour la deuxième fois.

http://www.fgv.br/cpdoc/acervo/dicionarios/verbete-biografico/fernando-jorge-fagundes-neto

PROVENANCE : ASSEMBLAGE LÉGISL. MG Dictionnaire biographique ; CAME. DEP députés; CAME. DEP députés brésiliens. Répertoires (1971-1975 et 1975-1979) ; FONTENLA, V. Histoire ; INF. BIOG.; Jornal do Brasil (09/07/76, 24/04/78, 18/01/79 et 09/07/82); NERI, S. 16; Profil (1972 et 1975); Rév. Public Arch. Mineiro (12/76); TRIB. SOUPER. ÉLU Données (9); Qui est qui au Brésil.

Faisan doré, restaurant
Alexandre José Dias Il était connu comme « transporteur 10 » à la gare de Juiz de Fora, où il remplissait son devoir d'accueil des voyageurs et de transport de leurs bagages, à ses heures perdues il fréquentait les maisons de jeu où il apprit les secrets du métier de croupier.
Un jour, il est parti pour São Paulo et est allé travailler dans des casinos, a économisé une bonne somme d'argent et est revenu s'établir à son compte. Il a ensuite invité les Portugais Manuel Borges , expérimenté dans le domaine, pour fonder un restaurant.
L'emplacement choisi était une propriété appartenant à M. João Rufollo, à Galeria Azarias Vilela, à côté de l'ancien Cine Theatro Central, un endroit privilégié à l'époque.
C'est ainsi qu'en 1947 est né le Bar et Restaurant Faisão Dourado, qui est né différent : son nom a été choisi lors d'un concours, ce qui l'a immédiatement fait ressortir.
Le Faisan est devenu une référence : c'était le favori des voyageurs, des politiciens et de la société Juiz-Forana, c'était le point de « s'étirer » au petit matin de ceux qui quittaient les bals et là ils se reconstituaient avec une soupe au poulet, même à carnavals, cette maison a été choisie.
Tout ce succès était dû au service des meilleurs serveurs, à la qualité de la nourriture et à sa carte variée : Barbecues, cuisine du Minas Gerais et les plats traditionnels français : allant des steaks aux poissons et crustacés.
L'harmonie entre la direction de la maison, les serveurs et les cuisiniers avec les clients était telle qu'au fil des ans, plusieurs plats créés par des habitués ont été intégrés à la carte : A Sopa Zarur (le nom donné au plat serait en corrélation avec la « soupe du pauvre »), très recherchée les matins froids, était composée de haricots battus, de pâtes et de saucisses, par exemple, elle a été créée par un client ; Camarão à Sales Duarte a été créé par un client homonyme ; Le riz Dodô, avec beaucoup d'ail frit et une odeur verte, a été suggéré par Donaldson, le gendre d'Alexandre, et le Filet à Robertinho a été inventé par le serveur Roberto.
Dans les années 80, en raison de la spéculation immobilière, le Golden Pheasant a déménagé à Rua Halfeld, partie basse, à cette époque, Ary José Maini , le gendre d'Alexandre, qui avait remplacé M. Manuel dans l'entreprise gérait la maison et se retrouvait avec la lourde tâche de restaurer le restaurant en un point jugé mauvais.
En préservant les attributs de qualité et de bon service qui ont porté cette maison à son apogée, le nouveau point, petit à petit, s'est établi.
Et ce n'est pas que, un certain jour, l'artiste va dîner à la maison, après un spectacle dans la ville et enthousiasmé par la nourriture, laisse une photo, un message et une signature sur le mur, ce personnage était simplement Maestro Antonio Carlos Brasileiro de Almeida Jobim - Tom Jobim. C'est devenu à la mode, dès lors, toutes les personnes célèbres et importantes qui ont visité la ville ont laissé leurs archives. Dans les années 1990, M. Ary a transféré la maison au Grupo da Companhia Mineira de Refrescos (Coca Cola), qui a ensuite négocié avec M. Ary. Antonio Jorge Marques et, plus tard, la maison a été cédée à un autre propriétaire qui l'a fermée au début du XXe siècle.
Antônio Jorge Marques, père du député du même nom, était portugais, a été directeur de la Cia Mineira de Refrigerantes (fabricant de Coca Cola à Juiz de Fora) avant de reprendre le Golden Pheasant et a également été président du Sindicato de Bars Hotéis Restaurantes e similaires depuis plusieurs années.

Témoignage de Jorge Sabino Alves avec les compléments de l'auteur

Falabella, Monseigneur, Miguel Falabella de Castro
Falabella est née le 29 juin 1931 à Mar de Espanha (MG) – et décédée le 23 novembre 2020, victime du covid-19. Il a été ordonné prêtre le 25 avril 1954 par le premier évêque de l'ancien diocèse de Juiz de Fora, Dom Justino José de Santana.
Il a été curé de la cathédrale métropolitaine entre 1963 et 2002. À cette époque, Falabella a reçu le titre de vicaire général de l'archidiocèse, poste qu'il a occupé jusqu'en mars 2019, date à laquelle il a démissionné pour des raisons d'âge et de santé.
Le prêtre a également été curé de la paroisse de São Geraldo, dans le quartier de Teixeiras, entre 2002 et 2009, année où il a commencé à travailler comme vicaire de la paroisse dans la même communauté. Ce même poste qu'il occupait encore, ces dernières années, dans la paroisse de Bom Pastor et dans la cathédrale elle-même.
Monseigneur a été, pendant de nombreuses années, membre de l'Irmandade do Senhor dos Passos et du conseil d'administration de la Santa Casa de Misericórdia en tant que représentant de l'archevêché.

Marcos Alfredo - État de Minas 24/11/2020

Fellet, Joaillerie
Mario Claudio Fellet
depuis 1937
Le commerce de la bijouterie a des particularités : il nécessite une relation plus étroite, avec une plus grande confiance entre le client et le marchand, car des valeurs émotionnelles et sentimentales s'ajoutent au produit acheté, le client doit être sûr qu'il achète un produit honnête, qu'il prend ce qui est promis; une autre situation est que les produits à vendre sont très chers et de faible volume, ce qui nécessite une plus grande préoccupation pour la sécurité des personnes impliquées dans l'entreprise : commerçants, commerçants et clients.
L'histoire de la famille Fellet commence, à Juiz de Fora, avec l'arrivée de l'italien
Antônio Modolo Fellet en 1890. Son passeport était autrichien, car sa ville d'origine était située dans une région de conflit, à la triple frontière entre la France, l'Autriche et l'Italie.
Il est intéressant de comprendre que les concepts de nationalité et de lieu de naissance (jus sanguinis et jus soli), qui sont liés au Brésil (qui est né au Brésil, est brésilien quelle que soit son origine ethnique), n'ont pas existé dans de nombreux pays européens , il pourrait être italien et né en Autriche. Aujourd'hui encore (2013), cette situation est clairement visible dans la région des Balkans.
Antônio a travaillé comme maçon, a eu l'opportunité de participer aux travaux d'installation de l'usine de Marmelos, la première centrale hydroélectrique d'Amérique du Sud, et a continué dans l'entreprise : Cia. Mineira de Eletricidade, en devenant électricien. Il a épousé Dona Ida Sansoni (Samson) Fellet.
Mário Claudio Fellet, fils d'Antônio et D. Ida, est né le 7 mai 1913. Dans sa jeunesse, il vendait des bananes produites dans la ferme familiale tout en apprenant le métier d'horloger auprès de l'Allemand Leopoldo Kathoud.
En 1936, il avait sa propre entreprise de réparation de montres sur Halfeld Street. 289.
En 1937, il s'établit avec Joalheria Fellet sur l'avenue Rio Branco en face du parc Halfeld.
Lorsque son père a pris sa retraite de la Cia Mineira, en 1939, il est allé apprendre le métier d'horloger avec son fils et a encore travaillé dans ce domaine pendant de nombreuses années.
Mário a épousé D. Delizeth de Freitas Fellet et ils ont eu trois enfants, Walmer, qui était un employé de Banco do Brasil, aujourd'hui décédé, Jorge Fellet et Mario Fellet Filho (Marinho) qui ont honorablement suivi les traces de leur père et sont devenus associés de l'entreprise en 1970. En 1996, M. Mário est décédé et ses fils ont repris l'entreprise. Actuellement (2013) l'entreprise était installée au siège de la galerie Epaminondas Braga, mais en 2015 l'établissement a fermé ses activités. Jorge est décédé en avril 2021.

Entretien avec l'auteur de Jorge e Marinho

Feliciano Gomes Pinto Monteiro
Conseiller municipal de 1857 à 1861

Felismin Correa de Mendonça
Conseiller municipal de 1873 à 1876

Ferdinand

Fernando de Paiva Mattos
L'un des plus grands noms du secteur de l'éducation à Juiz de Fora est Fernando de Paiva Mattos, décédé le 2 avril 2000, à l'âge de 99 ans. Le professeur Fernando a transformé le Colégio Machado Sobrinho en fondation en 1961, perpétuant le système éducatif fondé par son beau-père, Antônio Vieira Machado Sobrinho. En 1969, Mattos a créé le Collège Machado Sobrinho, dirigeant l'institution jusqu'en 1997. L'éducateur et poète a également joué un rôle important dans la politique locale. Ami d'Itamar Franco, il a présidé Telefônica Municipal SA (TELEMUSA) dans l'administration d'Itamar à la mairie de Juiz de Fora. Il a également été à la tête du Mouvement démocratique brésilien (MDB) sous le régime militaire et a présidé le directoire municipal du PRN, quand Itamar s'est présenté à la vice-présidence de la République sur la liste dirigée par Fernando Collor.

Access.com

Fernando Gabeira, Fernando Paulo Nagle Gabeira
Né à Juiz de Fora le 17 février 1941, journaliste, écrivain et homme politique. Fils de Paulo Gabeira et Isabel Nagle Il a commencé sa carrière dans le journalisme à la fin des années 1950, collaborant à des périodiques à Juiz de Fora tout en fréquentant le lycée.
Après une brève période à Belo Horizonte dans les années 1960, il s'installe à Rio de Janeiro, où il est rédacteur en chef du Jornal do Brasil. Avec le coup d'État militaire d'avril 1964, Gabeira a commencé à agir en résistance au nouveau régime. Il est connu pour son travail au sein du Parti vert brésilien (dont il est membre fondateur), défendant des positions controversées sur des sujets considérés comme tabous dans la culture politique brésilienne (comme la professionnalisation de la prostitution, le mariage homosexuel et la dépénalisation de la marijuana.
Il est également connu pour avoir participé à la lutte armée contre la dictature en tant que militant du Mouvement révolutionnaire Oito de Outubro, qui a tenté d'établir le socialisme au Brésil. Il n'était pas un guérillero en soi, mais travaillait comme reporter pour le Jornal do Brasil à Rio de Janeiro.
En 1970, Gabeira a été arrêté dans la ville de São Paulo. Il a résisté à son arrestation et a tenté de fuir vers un fourré qui existait à proximité. Plusieurs coups de feu ont été tirés et l'un d'eux l'a atteint dans le dos, lui perforant les reins, l'estomac et le foie. Incarcéré, il est libéré en juin de la même année, après avoir été échangé avec 39 autres prisonniers par l'ambassadeur d'Allemagne Ehrenfried von Holleben, lui aussi kidnappé. Le groupe a été banni du pays et exilé en Algérie. Pendant près d'une décennie, il s'est rendu dans plusieurs pays, dont le Chili, la Suède et l'Italie. En Suède, où il a passé la majeure partie de son exil, il est diplômé en anthropologie de l'Université de Stockholm et a travaillé comme reporter jusqu'à ce qu'il devienne conducteur de métro à Stockholm. Il retourne au Brésil en 1979, où il commence à travailler comme journaliste et écrivain, prônant la fin du régime militaire.
En raison de sa participation à l'enlèvement de l'ambassadeur américain, Gabeira ne peut pas entrer aux États-Unis et dans ses territoires. Gabeira a demandé une révision de visa à trois reprises et a été refusée à chaque fois.
Au cours de sa vie à l'étranger, il a épousé sa collègue militante politique Vera Sílvia Magalhães. De retour au Brésil, il a été marié pendant seize ans à la styliste Yamê Reis — avec qui il a eu deux filles : la psychologue Tami et la surfeuse Maya Gabeira. Le couple a divorcé en 1999. Il est actuellement marié à l'actrice et femme d'affaires Neila Tavares. En 1986, après son retour au Brésil, Gabeira était candidate au gouvernement de l'État de Rio de Janeiro par le PT, après avoir été battue par Moreira Franco ; en 1989, il se présente à la Présidence de la République, déjà pour le Parti des Verts, obtenant 0,18 % des voix.
En 1994, Gabeira est élu député fédéral du PV de Rio de Janeiro, réélu en 1998. En 2002, il change le PV pour le PT, étant réélu. Après avoir jugé inacceptable la conduite du parti au début du gouvernement Lula, il décide en octobre 2003 de quitter à nouveau le PT, restant sans parti pendant un certain temps. Il déclarait à l'époque :
« Notre génération ne peut pas se contenter d'être au gouvernement. Maintenant que le PT arrive au gouvernement, je vois que la perspective des dirigeants est similaire à celle des dirigeants, également communistes, d'Europe de l'Est. Il fallait dénoncer les violations des droits de l'homme lors du voyage [de Lula] à Cuba. Je suis venu partager cette erreur de société qui était d'attendre un gouvernement sauveur. Je sors de ce climat étouffant d'espoirs démentis. Mon rêve est terminé, j'en ai conclu que j'avais fait un mauvais rêve.
Un an et demi plus tard, le scandale Mensalão éclate.
En 2005, à la Chambre, Gabeira a qualifié le président de l'époque, Severino Cavalcanti, de "honte au pays" et a menacé de lancer un mouvement pour renverser Severino s'il continuait à soutenir les entreprises qui utilisent le travail des esclaves au nom du Congrès national. Il a également participé au CPI das Sanguessugas, en 2006, en tant que sous-rapporteur.
Rejoignant à nouveau le PV, Gabeira s'est présenté à la réélection en 2006 et a été le député fédéral le plus voté à Rio de Janeiro avec 293 057 voix.
En 2008, Gabeira s'est présentée à la mairie de Rio de Janeiro dans le cadre d'une alliance avec le PSDB et le PPS. Il est arrivé deuxième au premier tour de ces élections avec 839 994 voix (25,61 % des suffrages valables). Au second tour, il obtient 1 640 970 voix (49,17 % des voix valables) et ne perd que 1,66 % face à Eduardo Paes.
Gabeira s'est présenté au poste de gouverneur de Rio de Janeiro aux élections de 2010, après être arrivé deuxième avec 20,68% des voix valides, battu par le gouverneur Sérgio Cabral Filho.
Lors de sa campagne en tant que candidat au gouvernement de Rio de Janeiro, Gabeira a admis qu'à l'époque il était un militant contre la dictature militaire, il ne luttait pas pour la démocratie, mais pour la dictature du prolétariat. Gabeira dit avoir rompu avec ce type de vision idéologique.
« Tous les ex-guérilleros disent qu'ils se battaient pour la démocratie. Mais si vous regardez le programme que nous avions à l'époque, nous voulions une dictature du prolétariat. C'est un point de séparation avec le passé. La lutte armée ne visait pas la démocratie, du moins pas dans son programme ».
Gabeira est la cousine de sa collègue journaliste Leda Nagle.

Wikipédia

Fernando Junqueira
Conseiller du 31/01/1967 au 31/01/1971 (Maire du 31/01/1970 au 31/01/1971)
Il a été député d'État du Minas Gerais pendant quatre législatures consécutives, de la 7e à la 10e législature (1971 - 1987)

Fernando Paranhos, Fernando Pacheco Paranhos
Conseiller du 31/01/1971 au 31/01/1988 (Maire du 31/01/1980 au 31/01/1981)
Avocat, fonctionnaire, travaillant au tribunal du travail de Juiz de Fora.

Fernando Rainho, Fernando Antonio Rainho Tomas Ribeiro
Né en 1940 et mort le 15 mars 2013, licencié en droit, il a été un homme politique important dans les années 1970, lorsqu'il est devenu secrétaire du gouvernement de l'administration Melo Reis et, plus tard, député d'État. Mais c'est plus tôt, dans les années 1960, que la vocation politique a émergé, dans les couloirs de la faculté de droit de l'Université fédérale de Juiz de Fora (UFJF).
Fils de l'écrivain de Juiz de Fora, Cleonice Rainho, Fernando a également joué un rôle important dans le milieu culturel et a composé le Conseil des Amis du Musée Mariano Procópio. Il a été professeur à l'Académie et l'un des fondateurs du CES.

Figueirôa, José Sóter de Figueirôa Neto
Conseiller du 01/01/2005 au 31/12/2012, PMDB
Ingénieur civil, avec spécialisation en administration publique municipale et Master en gestion publique et politiques sociales (UFJF). Il a été secrétaire de l'Aménagement et des Travaux de la PJF et surintendant de l'Association Municipale d'Appui Communautaire (AMAC) pendant huit ans. Il a été surintendant de la planification et du travail du Secrétariat d'État au développement social (SEDESE/MG), président du Conseil d'État du travail, de l'emploi et du revenu et président du Collège des gestionnaires municipaux de l'aide sociale de l'État de Minas (COGEMAS MG) . Secrétaire du gouvernement entre 2013 et 2018.

Portail PJF | Institutionnel | Équipe gouvernementale www.pjf.mg.gov.

Philippe Coury Jabour
Il est arrivé à Juiz de Fora en 1924, à l'âge de 17 ans, avec le soutien de parents éloignés. Il vivait dans le bâtiment de l'Association Commerciale. Plus tard capitalisé et marié, il s'installe à Rua Marechal Deodoro, 119, un immeuble de deux étages construit dans le style architectural art déco construit par l'ingénieur civil Ermelindo Spigolon. Au rez-de-chaussée se trouvait le commerce et à l'étage se trouvait la résidence familiale.

Juliana Gomes Dornelas EN AMÉRIQUE, ESPOIR : IMMIGRANTS SYRIENS ET LIBANAIS ET LEURS DESCENDANTS À JUIZ DE FORA, MINAS GERAIS (1890-1940) Mémoire de maîtrise Juiz de Fora, 2008 - http://www.ufjf.br/ppghistoria/ files/2009 /12/Juliana-G-Dornelas1.pdf

F
Biografia

Fábio Nery, Dr.
Avenida na Vila Ozanan
Natural de São José das Três Ilhas (Belmiro Braga). Nos dois governos do prefeito Adhemar de Andrade foi vice-prefeito e diretor da Divisão de Educação e Cultura. Atuou como oficial de gabinete da Secretaria de Viação e Obras Públicas, no governo de Juscelino Kubitscheck.
Formado em Direito e Odontologia foi professor e diretor da Faculdade de Odontologia da UFJF.
Atuou como membro do conselho curador da Fundação Hermantina Beraldo, do Rotary Clube Juiz de Fora – Sul e presidente do Conselho Deliberativo do Educandário Carlos Chagas.
Presidiu a Liga Juiz-forana de Basquete e a Liga Mineira de Ciclismo, foi vice-presidente do Clube Juiz de Fora por três mandatos e integrou o Conselho Deliberativo do Tupynambás Futebol Clube por 30 anos.

http://www.camarajf.mg.gov.br/noticias.php?cod=3982

http://fabionery.blogspot.com/2008/

Biografia

Falabella, Monsenhor, Miguel Falabella de Castro
Nasceu em 29 de junho de 1931, em Mar de Espanha) e faleceu em 23 de novembro de 2020, vítima do Covid 19. Foi ordenado padre no dia 25 de abril de 1954, pelo primeiro bispo da então Diocese de Juiz de Fora, Dom Justino José de Santana.
Foi Pároco da Catedral Metropolitana entre 1963 e 2002. Naquela época, Falabella recebeu o título de Vigário Geral da Arquidiocese, função que exerceu até março de 2019, quando renunci-ou ao cargo por motivos de idade e saúde.
O sacerdote ainda foi Pároco da Paróquia São Geraldo, do Bairro Teixeiras, entre 2002 e 2009, ano em que começou a trabalhar como Vigário Paroquial na mesma comunidade. Este mesmo cargo ele ainda exerceu, nos últimos anos, na Paróquia Bom Pastor e na própria Catedral.
O monsenhor foi, por muitos anos, membro Irmandade do Senhor dos Passos e Diretoria da Santa Casa de Misericórdia como representante do Arcebispado.

Marcos Alfredo - Estado de Minas 24/11/2020

Biografia
Felipe Roque, Felipe Moreira Roque
Nasceu em Juiz de Fora em 19 de maio de 1997, filho de Edson José Roque e de Beatriz Moreira Roque.
Jogador de Vôlei, na adolescência já praticava Vale-tudo no Clube Bom Pastor. Começou a jogar voleibol despretensiosamente, depois ingressou nas categorias de base do clube, sempre apoiado pelos pais, depois integrou as categorias de base do UFJF/Bom Pastor e representando a categoria mirim conquistou o quarto lugar na Copa Adolfo Guilherme de 2012.
Em 2013 representou o UFJF/Bom Pastor na edição da Copa Adolfo Guilherme e foi vice-campeão da Copa Minas, e conquistou, também, o título dos Jogos de Minas desse ano, em Varginha.
Ainda pelo UFJF/Bom Pastor, representou a cidade de Juiz de Fora na edição dos Jogos de Minas de 2014, integrando o elenco adulto quando alcançou o bronze no Campeonato Mineiro de 2014 e o quinto lugar na edição do Campeonato Mineiro de 2015.
Em 2015 foi convocado para a Seleção Mineira para disputar o Campeonato Brasileiro de Seleções Estaduais, primeira divisão, na categoria juvenil (Sub-20), sendo realizado em Saquarema e con-quistou a medalha de bronze, nesse ano foi convocado para Seleção Brasileira em amistosos prepa-ratórios para representar o elenco infanto-juvenil na disputa do Campeonato Mundial desta catego-ria, sediado nas cidades argentinas de Corrientes e Resistência, vestindo a camisa 34 sob o comando do técnico Percy Oncken, e na ocasião finalizou na sexta posição.
Representou a Seleção Mineira em 2016 na edição do Campeonato Brasileiro de Seleções disputado em Saquarema.
Recebeu nova convocação para Seleção Brasileira, desta vez para disputar o Campeonato Sul-Americano Juvenil de 2016 em Bariloche, Argentina, ocasião que conquistou a medalha de prata.
A partir de 2016 foi contratado pelo Minas T.C. e nas categorias de base conquistou o título do Campeonato Mineiro Juvenil e vice-campeão adulto.
Com apenas 19 anos e 2,08 m. de altura, atuou pela primeira vez no time principal do Minas T.C. na última rodada do primeiro turno da Superliga Brasileira A em 2016 e 2017 quando foi lançado como titular pela saída de rede pelo técnico Nery Tambeiro Jr., e neste jogo marcou 11 pontos e recebeu o Troféu Viva Vôlei como destaque da partida e participa da desta edição deste então.
Em 2017 foi convocado para Seleção Brasileira, categoria juvenil, em preparação para a disputa da edição da Copa Pan-Americana Juvenil sediada em Fort Murray no Canadá e sagrou-se campeão; também pela seleção juvenil disputou a edição do Campeonato Mundial Juvenil de 2017, sediado nas cidades de Brno e České Budějovice, República Tcheca, alcançando o quarto lugar.
Na temporada 2017 e 2018 permanece no elenco profissional do Minas Tênis Clube e foi inscrito na edição da Superliga Brasileira A 2017 e 2018.
Em 2019, foi convocado pela seleção brasileira principal, conquistando medalha de ouro no Sul-Americano, na Copa do Mundo e medalha de bronze nos jogos Pan-Americanos de Lima. Na tem-porada 2020/2021, tornou-se campeão da superliga defendendo o time de FUNVIC/Taubaté.

https://pt.wikipedia.org/wiki/Felipe_Roque_(voleibolista)

jornaldovolei.com.br/

Biografia
Felipe Silva
Nascido em 5 de agosto de 1984 em Juiz de Fora.
Campeão brasileiro de Muay Thai e Kickboxing e lutador de MMA que luta sob o comando de Brave CF no peso leve. MMA profissional desde 2013, Silva também competiu no Ultimate Fighting Championship (UFC)
Começou no Muay Thai e venceu o Campeonato Brasileiro dessa modalidade duas vezes e o título Brasileiro de Kickboxing três vezes antes da transição para as artes marciais mistas.
Fez sua estreia oficial no dia 27 de agosto de 2016 no UFC on Fox: Maia x Condit onde enfrentou Shane Campbell quando venceu a luta por nocaute técnico no primeiro round. Em seguida, ele enfrentou Mairbek Taisumov em setembro de 2017 no UFC Fight Night: Struve vs. Volkov e per-deu a luta por nocaute no primeiro round.
Em 19 de maio de 2018, Silva enfrentou Claudio Puelles no UFC Fight Night: Maia x Usman, per-deu a luta por finalização no terceiro round.
Assinou um contrato com o Brave CF em maio de 2019 e fez sua estreia contra Dumar Roa e venceu a luta por nocaute técnico no primeiro round.

Citação
Feliciano Gomes Pinto Monteiro
Conselheiro Municipal de 1857 a 1861

Notícia
Felismino Corrêa de Mendonça
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1873 a 1876
Segundo o Almanak de Minas era suplente de delegado.

Biografia
Fernando Cardoso, General
Nasceu em Juiz de Fora em 17 de novembro de 1937 e faleceu em Brasília em 16 de julho de 2021. Filho de Álvaro Cardoso, oficial do exército e de Ambrosina Cardoso. Casou-se com Adelina Leal Cardoso.
Formou-se na Academia Militar das Agulhas Negras como aspirante-a-oficial da arma de Infantaria em dezembro de 1959. Foi promovido a segundo-tenente em agosto de 1960, a primeiro-tenente em setembro de 1962, e a capitão em agosto de 1966. Entre junho e dezembro de 1969, cursou a Escola de Aperfeiçoamento de Oficiais. Em fevereiro de 1973, iniciou o curso de altos estudos militares na Escola de Comando e Estado-Maior do Exército, que concluiu em dezembro de 1975. Em abril de 1975, foi promovido a major. Em seguida, serviu na 3ª Brigada de Infantaria Motorizada, então situada em Goiânia.
Em agosto de 1980, foi promovido a tenente-coronel. Em junho de 1981, foi colocado à disposição da Presidência da República e designado assessor do gabinete do Serviço Nacional de Informações (SNI). No biênio 1985-1986, comandou o 16º Batalhão de Infantaria Motorizado, em Natal. Em abril de 1985, ascendeu ao posto de coronel. Em fevereiro de 1987, voltou ao SNI, onde foi desig-nado para a chefia da Seção de Ensino de Assuntos Especiais, que acumulou com o de chefe da Divisão de Ensino e do Departamento de Ensino.
Em abril de 1988, foi nomeado adido das Forças Armadas junto à embaixada do Brasil na República Popular da China. Aí permaneceu até junho de 1990, quando foi designado para a Secretária-geral do Exército.
Promovido a general-de-brigada em março de 1991, assumiu o Comando da 4ª Brigada de Infantaria Motorizada, em Belo Horizonte, onde permaneceu de 2 de maio de 1991 a 30 de abril de 1992. Em seguida, foi nomeado chefe do Centro de Informações do Exército.
Em 5 de outubro do mesmo ano, foi nomeado chefe do Gabinete Militar da Presidência da Repú-blica por Itamar Franco. Em novembro, de acordo com a Lei nº 8.490, o Gabinete Militar passou a denominar-se Casa Militar, e seu titular passou a ter status de Ministro de Estado. Também nesse mês, acompanhou Itamar Franco a Dakar, capital do Senegal, por ocasião da III Reunião da Cúpula do Grupo dos 15. No mês seguinte esteve com o Presidente em Miami, por ocasião da Reunião de Cúpula das Américas.
Em 1º de janeiro de 1995, quando Itamar Franco passou a presidência a Fernando Henrique Cardo-so, deixou a chefia Casa Militar e foi nomeado assessor especial do novo Presidente com o propósi-to de elaborar e implantar um novo órgão de inteligência para o país, a futura Agência Brasileira de Inteligência. Permaneceu no exercício dessas funções até março de 1996. Foi então nomeado sub-chefe de Instrução do Comando de Operações Terrestres. Em março de 1997, foi transferido para a reserva remunerada.

https://pt.wikipedia.org/wiki/Fernando_Cardoso_(militar)

Notícia
Fernando de Paiva Mattos
Nasceu em 1901 (ou 1902) e faleceu no dia 2 de abril de 2000 com 99 anos.
O professor Fernando com o apoio da família Machado Sobrinho, transformou o Colégio Ma-chado Sobrinho em fundação em 1961, perpetuando o sistema educacional fundado pelo sogro, Antônio Vieira Machado Sobrinho.
Em 1969, criou a Faculdade Machado Sobrinho, ficando à frente da instituição até o ano de 1997.
O educador e poeta também teve destaque na política local. Amigo de Itamar Franco, presidiu a Telefônica Municipal S. A. (TELEMUSA) na gestão de Itamar na prefeitura. Também foi presi-dente da seção local do MDB durante o regime militar e presidiu o diretório municipal do PRN, quando Itamar candidatou-se a vice-presidente da República na chapa liderada por Fernando Collor.

https://www.acessa.com › arquivo › jf150anos

Biografia
Fernando Junqueira, Fernando Junqueira Reis de Andrade
Vereador em um mandato, de 31/01/1967 a 1971 (Presidente da Câmara de 31/01/1970 a 31/01/1971).
Nasceu em Juiz de Fora em 19 de novembro de 1933 e faleceu em 14 de agosto de 2014.
Filho de Renato Junqueira de Andrade e Zélia da Silva Reis Andrade casado com Alcfnia Zóica Fortini Toscano Junqueira.
Bacharel em Direito pela Universidade Federal de Juiz de Fora.
Trabalhou como Bancário, no Banco da Lavoura e Irmãos Guimarães. No setor público atuou como
Fiscal de Rendas do Estado e como Assistente Judiciário da Comarca de Juiz de Fora
Foi deputado estadual de Minas Gerais por quatro legislaturas consecutivas, da 7ª à 10ª legislatu-ra (1971 - 1987).

file:///C:/Users/lacst/Videos/0052.pdf

Notícia
Fernando Paranhos, Fernando Pacheco Paranhos
Vereador por 4 legislaturas, de 31/01/1971 a 31/01/ 1988 (Presidente da Câmara de 31/01/1980 a 31/01/1981)
Advogado, servidor público, lotado na Justiça do Trabalho em Juiz de Fora.

Biografia
Fernando Rainho, Fernando Antonio Rainho Tomas Ribeiro
Nascido em Juiz de Fora em 15 de outubro de 1938 e falecido em 15 de março de 2013, Filho de Jacy Thomaz Ribeiro e Cleonice Rainho Thomaz Ribeiro.
Bacharel em Direito (1963), e Licenciatura em Pedagogia (1968) pela Universidade Federal de Juiz de Fora.
Foi Professor na Academia, Professor de Direito Constitucional e Vice-Diretor (1976-1979) da Faculdade de Direito da Universidade Federal de Juiz de Fora. Professor de diversos cursos de Aperfei-çoamento e Treinamento, promovidos pelo Ministério da Educação e Cultura e Secretaria de Estado da Educação. Inspetor Estadual de Ensino Médio (1968-1973), Membro do Seminário de Adminis-tração CENTER FOR Study Of Higher Education In Latin América, realizado nos Estados Unidos e México (1969). Membro do Conselho Estadual das Escolas da Comunidade de Minas Gerais (1972-1973).
Fundador, Vice-Diretor e Diretor Executivo do Centro de Ensino Superior de Juiz de Fora- CES (1972-1983). Diretor do Departamento de Ensino de 2º grau e Superior da Secretaria de Estado da Educação (1973-1974). Fundador e Diretor da Rede de Juiz de Fora de Radiodifusão. Membro da Associação Brasileira de Administração Universitária, Instituto Brasileiro de Direito Constitucional e Diretório Regional do PDS. Chefe de Gabinete (1977) e Secretário de Governo da Prefeitura de Juiz de Fora (1977-1982). Vice-Líder do PDS (1983). Participou do Conselho de Amigos do Museu Mariano Procópio.

file:///C:/Users/lacst/Videos/0052.pdf

Notícia
Figueirôa, José Sóter de Figueirôa Neto
Vereador por 2 legislaturas, de 01/01/2005 a 31/12/2012, PMDB
Engenheiro civil, com especialização em Administração Pública Municipal e Mestre em Gestão Pública e Políticas Sociais (UFJF). Foi secretário de Planejamento e de Obras da PJF e superinten-dente da Associação Municipal de Apoio Comunitário (AMAC) por oito anos.
Foi superintendente de Planejamento e do Trabalho da Secretaria de Estado de Desenvolvimento Social (SEDESE/MG), presidente do Conselho Estadual de Trabalho, Emprego e Renda e presidente do Colegiado de Gestores Municipais de Assistência Social do Estado de Minas (COGEMAS MG). Secretário de Governo entre 2013 e 2018.

www.pjf.mg.gov.

Biografia
Fiorilo, Dr., José Mansueto Fiorilo
Vereador por 3 legislaturas, de 01/01/2009 a 31/12/2020
Nasceu no dia 28 de novembro de 1952 em Senador Firmino e chegou a Juiz de Fora com sua família no início da década de 60.
É médico formado pela UFJF, especialista em Pediatria. Através de concurso, ingressou na Prefeitura de Juiz de Fora como pediatra, plantonista do antigo PSM e, atualmente (2020), exerce a função no PAI.
Chefia o Serviço de Pediatria da Santa Casa de Misericórdia e é professor dos residentes do Depar-tamento de Pediatria da instituição.
Foi perito de trânsito e criminal da Polícia Civil, lotado na 7ª Delegacia Regional.
Católico praticante, foi um dos membros fundadores da Irmandade do Santíssimo Sacramento da Paróquia de Santa Luzia. Atuou como tesoureiro da Comunidade São José, ministro extraordinário da Eucaristia, um dos coordenadores dos encontros de noivos e atualmente (2020) é da Pastoral do Dízimo.

Informações do site quando vereador na Câmara

Biografia
Flávio Cheker, Flávio Procópio Cheker
Vereador por 5 legislaturas, de 01/01/1993 a 2012. PT
Nascido em 02 de fevereiro de 1958 em Rio Novo.
E graduado pela Faculdade de Letras da Universidade Federal de Juiz de Fora (UFJF) e atuou como professor de ensino médio e superior.
Iniciou sua vida pública ainda na universidade, onde atuou como Coordenador Geral do Diretório Central dos Estudantes (DCE) da UFJF, além disso, Flavio participou de movimentos políticos e culturais de resistência à ditadura, como o Jornal alternativo “Bar Brazil”, criado por estudantes universitários na década de 1970. Em 1992 assumiu seu primeiro mandato como vereador em Juiz de Fora, onde foi reeleito por mais quatro vezes. Flávio Cheker também militou no Comitê Brasilei-ro pela Anistia e participou da fundação nacional do Partido dos Trabalhadores (PT). Além disso, atuou nos movimentos dos professores da rede pública e privada, tendo sido membro da direção do Sindicato Único dos Trabalhadores em Educação de Minas Gerais.
Flávio foi secretário de Desenvolvimento Social no Governo Custódio de Mattos

https://memoriasdaimprensajf.wordpress.com/entrevistas/flavio-cheker/

Biografia
Florêncio Antônio da Fonseca
Conselheiro Municipal em um mandato, de 1857 a 1860
Nascido em Traíras, hoje, Tupiraçaba, distrito de Niquelândia, Goiás, em 1777 faleceu em Juiz de Fora, 1860.
Foi o primeiro goiano a escrever poesias e era, também, na época, músico e advogado. Advogou por muito tempo em Meia Ponte, hoje Pirenópolis e casou-se com Maria Joana, não tiveram filhos.
Residiu em São João Del Rei e em Juiz de Fora e nesta última, terminou seus dias exercendo a profissão de advogado.
No ano de 1811, uma epidemia de sarampo assolou a cidade de Meia Ponte, Goiás, Florêncio se pôs a louvar em poesia o capitão Joaquim Alves de Oliveira, Juiz de Órfãos do Julgado de Meia Ponte, que, segundo consta, teria ajudado os flagelados.
Sua poesia, exaltando o grande benfeitor Meia-pontese é a primeira voz a cantar à maneira camoni-ana temas ligados ao Estado de Goiás.
Publicou único livro Obras Poéticas e, quando faleceu, deixou uma valiosa biblioteca a um filho natural. Patrono da Cadeira 28 da Academia Goiana de Letras

https://prezi.com/ybdnnvzkgbvo/cronologia-da-literatura-goiana/

Citação

Florêncio Gonçalves

Conselheiro Municipal em um mandato, de 1895 a 1898

Crônica
Floripes Flores
É um personagem do meu tempo de infância que andava lá pelos lados do Morro da Glória, Maria-no. Não posso afirmar ser seu nome verdadeiro ou se usava-o como marketing (espontâneo), ou, até que ponto isso está no meu imaginário.
Floripes era uma pessoa bem alta, de uma certa idade, claro, bem castigado pelo sol, por suas ativi-dades ao ar livre, usava uma espécie de terno de cor cáqui, bem usado, calça ”pega siri”, botina surrada e chapéu de palha enfeitado com pequenas flores e saia pelas ruas com um arranjo feito de palha, bem alto com flores de plástico espetadas para vender. Era uma figura bem interessante.

Biografia
Fonseca, Francisco Fonseca, Francisco de Paula Fonseca
Vereador por 5 legislaturas, de 31/01/1963 a 31/01/ 1983
Nasceu em Ponte Nova, em 1922 e chegou a Juiz de Fora em 1933 ainda criança. Aos 18 anos se apresentou como voluntário do Exército Brasileiro e, quatro anos mais tarde, seguia para lutar na Segunda Guerra Mundial, compondo o efetivo do Quinto Exército Americano.
Entrou para a política em 1964, quando foi eleito vereador, tendo sido vice-presidente e secretário da Câmara Municipal. Casou em 1945 com Tereza Marone Fonseca, com quem teve cinco filhos.
O vereador Fonseca como ex-combatente, sempre ajudou seus colegas das fileiras e suas famílias.

Biografia
Fonseca Hermes, João Severiano da Fonseca Hermes
Secretário geral do governo provisório da república.
Rua no Centro da cidade
Conselheiro Municipal em um mandato, de 1887 a 1889.
Nasceu em 26 de junho de 1855 em São Rafael, Rio Grande do Sul e faleceu no dia 7 de novembro de 1897 no Rio de Janeiro
Filho de Hermes Ernesto da Fonseca e de Rita Rodrigues da Fonseca. Seu pai, assim como seus tios, era militar; foi presidente das províncias de Mato Grosso e da Bahia, além de Comandante das armas desta última e da província do Pará. Seu tio Deodoro da Fonseca proclamou a República e foi o primeiro presidente do Brasil, de 1889 a 1891. Outro tio, João Severiano da Fonseca, foi mé-dico e ajudante- general do Exército, sendo considerado patrono do Serviço de Saúde do Exército; foi também senador constituinte em 1891. Um terceiro tio, Pedro Paulino da Fonseca, foi senador e governador de Alagoas. Seu irmão Hermes da Fonseca foi ministro da Guerra (1906-1909) e pre-sidente da República (1910-1914). Casado com Elvira de Assis da Fonseca Hermes,
Advogado, promotor de justiça, jornalista da “Gazeta de Juiz de Fora” em 1881 e do “Diário de Minas” em 1888, redator do “Echo do Povo” – primeiro órgão verdadeiramente republicano segun-do o “Álbum de Juiz de Fora” organizado em 1915 por Albino Esteves.
Após viver alguns anos em Juiz de Fora (MG), Fonseca Hermes mudou-se para o Rio de Janeiro e formou-se em direito. Em 2 de janeiro de 1890, pouco depois da proclamação da República (15/11/1889), foi nomeado pelo marechal Deodoro da Fonseca secretário geral do governo provisório.

PROCÓPIO FILHO, 1979, p.172 http://www.encontro2012.mg.anpuh.org/resources/anais/24/1340747205_ARQUIVO_ABatalhaSimbolicacidadedoParahybuna1888-FabioAugustoMachadoSoaresdeOliveira.pdf

http://cpdoc.fgv.br/sites/default/files/verbetes/primeira-republica/HERMES,%20Fonseca.pdf

FRANCISCO

Notícia
Francisco Afonso Pinheiro
Vereador por 3 legislaturas, de 31/01/1959 a 31/01/ 1967 e de 31/01/1983 a 31/01/1988
Eleito pelo PTB. Teve intensa militância política, tendo sido um dos primeiros integrantes do proje-to para a fundação de uma Central Única dos Trabalhadores, atual CUT, e antigo Comando Geral dos Trabalhadores do qual foi presidente municipal. Se dedicou ao trabalho comunitário, foi um dos estruturadores da Associação dos Aposentados e Pensionistas de Juiz de Fora. No PMDB, ocu-pou o cargo de diretor. Faleceu em 25 de junho de 1993.

Notícia
Francisco Basílio Duque, Dr.
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1869 a 1872.
Doutor em Medicina formado pela Faculdade do Rio de Janeiro, Natural do Município de Parahibuna, filho legitimo do Capitão Manuel Duque e de Carolina Leopoldina Lage Duque. Defendeu tese sobre ”Higiene da criança do nascimento à queda do cordão umbilical” em 1864. Também fazendeiro, “em 1872 tinha 431 hectares de terra e 117 escravos e 211.000 pés de café”.

Biografia
Francisco Bernadino, Francisco Bernadino Rodrigues Silva
Avenida no Centro, EE Francisco Bernardino na rua Sergipe, Manoel Honório.
Conselheiro Municipal de 1884 a 1886, de 1892 a 1895, quando foi Presidente do Conselho e agente do executivo e de 1895 a 1898.
Nasceu em Juiz de Fora em 10 de outubro de 1853 e faleceu em Belmiro Braga em 14 de abril de 1920.
Filho de Firmino Rodrigues Silva e de Elisa Duarte Badaró Silva. Foi casado com Maria Perpétua Vidal Laje e Silva.
Formou-se pela Faculdade de Direito São Paulo e ingressou na política ao ser eleito deputado pro-vincial para a legislatura 1874/1875. Foi reeleito até 1879. Entre 13 de agosto e 22 de novembro de 1877 exerceu concomitantemente o cargo de presidente da província do Piauí.
Quando retornou à Câmara Vereadores em 1890, sendo foi indicado para presidente da Casa.
Em 30 de junho de 1893 teve seu nome votado para presidente constitucional de Minas Gerais em substituição ao presidente eleito Afonso Augusto Moreira Pena, mas não aceitou tomar posse, pois pleiteava se candidatar a presidente da República no ano seguinte. Nessa empreitada não se saiu bem, pois o candidato eleito foi Prudente de Morais. Em 6 de maio de 1903 foi eleito deputado federal por Minas Gerais para a legislatura 1903/1905. Reeleito para a legislatura seguinte permane-ceu na Câmara dos Deputados até 31/12/1908.

https://books.google.com.br/books

Notícia
Francisco Bolonha, engenheiro
Na Rua Halfeld, n.º 828/830, esquina com avenida Barão do Rio Branco, Nº 2189 foi construído o Edifício Clube Juiz de Fora, projetado por Francisco Bolonha e construído entre 1956 e 1958, subs-tituindo um prédio antigo destruído por um incêndio em 1950.
Tem 16 andares, sendo lojas no piso ao nível da rua. Os três pavimentos mais altos foram reservados ao Clube Juiz de Fora.

Notícia
Francisco Cândido Alves
Conselho de intendência, adjunto de 02/1890 a 03/1993
Nasceu em Valença, RJ em 3 outubro de 1860 e faleceu em Franca, SP em 2 de dezembro de 1940.
Nasceu na Fazenda São João do Arraial de Santa Izabel do Rio Preto.
Batizado no distrito de Santa Izabel do Rio Preto, da comarca de Valença, Rio de Janeiro.
Filho de Emerenciano Alves de Meirelles e de Severina Jacintha de Meirelles. Casou-se com Albertina Pacheco de Juiz de Fora.

Instaurada a República, por meio do Decreto nº 50 -A, de 7 de dezembro de 1889, a Câmara Municipal é dissolvida pelo governo provisório, sendo criado o Conselho de Intendência Municipal, insti-tuição de caráter executivo e legislativo formada 7 Intendentes sendo 1 deles o presidente do conse-lho. Funcionou até 1892.

https://www.geneaminas.com.br/genealogia-mineira/restrita/enlace.asp?codenlace=1379636

Notícia
Francisco Cândido da Gama Junior
Conselheiro Municipal por 2 mandatos, de 1895 a 1898 e de 1901 a 1904
Vice-presidente do Clube Juiz de Fora segundo o Almanak Laemmert, Administrativo, Mercantil e Industrial (RJ) - 1891 a 1940.
Advogado com escritório à Rua Santo Antônio n° 2.

Almanak Laemmert: Administrativo, Mercantil e Industrial (RJ) - 1891 a 1940

Notícia
Francisco Canalli, Francisco Carlos Canalli
Vereador por 2 legislaturas, de 01/01/2009 a 31/12/2012 (Presidente da Câmara 01/01/2001 a 31/01/2004) PMDB
Nascido em 22 de março de 1972, natural do Rio de Janeiro, Técnico Contabilidade, Estatística, Economia Doméstica e Administração

Notícia
Francisco de Assis Mendes Ferreira, Dr.
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1861 a 1864 Médico

Citação
Francisco de Assis Pinto
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1881 a 1884

Citação
Francisco d’ Assis Vieira, Tenente Coronel
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1864 a 1868, liberal

Citação
Francisco de Oliveira Reis
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1927 a 1930

Citação
Francisco de Paula Campos
Conselheiro Municipal por 2 mandatos, de 1865 a 1868 e 1873 a 1876

Biografia
Francisco de Paula Ferreira e Costa, Dr.
Nasceu em 1837 em Lavras, Minas Gerais, data do falecimento não apurada. Cursou a Faculdade de Direito de S. Paulo, formando-se em 1861.
No regime monárquico, foi deputado e juiz municipal; e depois do advento da República foi dele-gado de Polícia em Juiz de Fora e juiz de Direito, primeiramente em S. João d'El-Rei (1892) e desde 1898 na Segunda Vara de Juiz de Fora onde era muito considerado como proprietário de imóveis. Foi tenente-coronel honorário do Exército, distinção esta que recebeu no governo do marechal Floriano Peixoto.
https://www.novomilenio.inf.br/santos/h0300g40d.htm

Citação
Francisco Delgado Pinto Junior
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1887 a 1889

Biografia
Francisco Dionísio Fortes Bustamante, Capitão, Guarda-mor
Conselheiro Municipal da primeira legislatura da câmara de vereadores de 07/04/1853 a 06/04/1856
Nascido em 10 de outubro de 1766, em São João Del Rei e faleceu, em 1835 (cerca de) Era filho de: Manoel Antunes Nogueira e de Ritta Luiza Victória Bustamante e Sá (Natural do Rio de Janeiro) que por sua vez era filha de Filha de Dr. Luiz Fortes de Bustamante e Sá (o Juiz de Fora) e Luiza Maria Xavier da Fonseca. Casado com Joaquina Felisberta da Silveira, descendente de D. Afonso Henriques. 2 º Guarda-Mor do Registro e sesmeiro em Rio Preto e Valença.
http://www.projetocompartilhar.org/Familia/FortesdeBustamante.htm

https://www.geni.com/people/Guarda-Mor-Francisco-Dionisio-Fortes-de-Bustamante/60000000481 72938981

Citação
Francisco Faria
EE Francisco Faria em Benfica
Vereador por uma legislatura, de 1936 a 1937

Notícia
Francisco Ferreira de Assis Fonseca, comendador
Conselheiro Municipal por 3 mandatos, de 1887 a 1890 e de 1892 a 1898
Filho de Camila Francisca de Assis Resende, Baronesa de Juiz de Fora com Candido Ferreira da Fonseca e enteado do Coronel José Ribeiro de Resende, Barão de Juiz de Fora com que sua mãe casou em segundas núpcias.
http://www.projetocompartilhar.org/DocsMgAF/CamilaFranciscadeAssisResende1892.htm 8

Citação
Francisco Joaquim Henriques
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1892 a 1895

Citação
Francisco Moreira da Rocha
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1868 a 1872

Notícia
Francisco Pereira Sygmaringa
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1895 a 1898
Casou-se com Emília Augusta de Miranda de Juiz de Fora.

Citação
Francisco Ribeiro de Almeida Júnior
Conselheiro Municipal de 1923 a 1926

Citação
Francisco Ribeiro de Assis Rezende
Conselheiro Municipal por 3 mandatos, de 1898 a 1907

Notícia
Francisco Rodrigues de Almeida Novaes
Conselheiro Municipal por 3 mandatos, de 1898 a 1904 e de 1911 a 1915.
Venerável da Loja Maçônica Fidelidade Mineira.

Biografia
Francisco Valle, Francisco Magalhães do Valle

Rua no centro da cidade
Nasceu na Fazenda São Joaquim, distrito de Porto das Flores, então pertencente a Juiz de Fora, hoje município de Belmiro Braga, em 20 de março de 1869 e faleceu em Juiz de Fora em 10 de outubro de 1906 filho do flautista Manuel Marcelino do Valle (1839-1903)
Estudou música inicialmente com seu pai e com os pianistas Elisa Schmidt e Wilhelm Bickerle.
Começou a compor aos quatorze anos de idade e em 1885, transferiu-se para o Rio de Janeiro, onde estudou piano com Alfredo Bevilacqua (1846-1927) e harmonia com Miguel Cardoso (1850-1912). Suas primeiras obras foram a Sonata em dó menor e a Mazurca sentimental.
Em 1886 iniciou sua projeção como pianista no Rio de Janeiro, partindo em 1887 para a França, com recursos da família e de amigos, para frequentar, como ouvinte, o Conservatório de Paris, no qual estudou piano com Charles-Wilfried Bériot (1833-1914), órgão com Charles Marie Widor (1844-1937) e composição com César Franck (1822-1890).
No o Conservatório de Paris pode ter convivido com outras personalidades do meio musical, entre eles o compositor Fernand Jouteux, que na década seguinte passou a residir no Brasil, de forma intermitente. O falecimento de seu avô em 1890 e a consequente falta de recursos para se manter na França obrigou o retorno de Valle ao Brasil em 1891, que trouxe de Paris suas primeiras compo-sições de grande porte, provavelmente entre elas as composições orquestrais Valse-Scherzo e Telê-maco.
A partir de seu retorno definitivo ao Brasil, tentou obter apoio do governo de Minas Gerais para a continuação dos seus estudos e de sua produção musical, sem nunca o ter recebido. Nessa época sustentou-se dando aulas de piano em fazendas da região de Juiz de Fora. Casou-se em 1894 com Maria da Conceição Coimbra (falecida em 1903), com a qual teve três filhos, porém passou a residir principalmente no Rio de Janeiro a partir de 1895, lá organizando vários concertos com suas obras. Uma doença neurológica na época referida como neurastenia, obrigou-o a retornar a Juiz de Fora em 1899, onde casou-se com Petrina Leal, com quem teve seu quarto e último filho.
Em 1906, residindo no atual número 1.000 da Rua Batista de Oliveira, no bairro do Granbery, em Juiz de Fora, Francisco Valle não resistiu à sua neurastenia e suicidou-se no Rio Paraibuna, atirando-se da Ponte Carlos Otto.
Após o falecimento de Francisco Valle, sua música foi sendo rapidamente esquecida e a memória de sua produção se dissolveu quase totalmente, afora pequenas informações biográficas em livros de história da música brasileira da primeira metade do século XX. O início do ressurgimento da música de Francisco Valle ocorreu somente no século XXI, após o contato de musicólogos com os documentos remanescentes do seu arquivo, em São Paulo e Juiz de Fora. Em uma carta escrita ao seu pai em 1889, ainda em Paris, Francisco Valle como que antevia a dificuldade que ele e seus sucessores iriam enfrentar para a divulgação de sua música: “Lembre-se bem que os próprios gênios não fazem sua carreira tão facilmente como se pensa. Ao contrário, na maior parte das vezes, mor-rem desconhecidos e só se consagram depois que seus ossos estão reduzidos a cinza” Carta de Francisco Valle a seu pai (Paris, 5 jan. 1889).

https://pt.wikipedia.org/wiki/Francisco_Valle, inclusive foto

Biografia
Franz Joseph Hochleitner
A sala de Arqueoastronomia na UFJF leva seu nome
Nasceu em 30 de abril de 1916 em Salzburg, na Áustria e faleceu em 11/07/2017, aos 101 anos em Juiz de Fora, naturalizado brasileiro.
Era graduado pela Universidade Federal de Juiz de Fora (1965) e tinha doutorado pela Universitat Bonn (1968).
Recebeu a Medalha de Ouro, estado de Salzburg, Áustria, o Premio Dr. Antonio Procopio de An-drade Teixeira do Conselho Universitário da Universidade Federal de Juiz de Fora e moção de aplausos da Câmara de Vereadores de Juiz de Fora, no ano de seu centenário de nascimento. A sala de Arqueoastronomia na UFJF, que leva seu nome, reúne parte do acervo do MAEA, inclusive seu principal trabalho: a decodificação da Porta do Sol, um antigo monumento existente na Bolívia.
Na Segunda Guerra Mundial. Formado em Ciências Aplicadas, trabalhou na área de comunicação militar, desenvolvendo e aperfeiçoando métodos avançados de radiocomunicação para a Força Aé-rea Alemã. Esta experiência trouxe conhecimento e facilidade para interpretar códigos, ideogramas e hieróglifos de culturas antigas, como os dos maias e astecas. Ao chegar ao Brasil, ingressou no curso de História da Faculdade de Filosofia e Letras (FAFILE), e atuou nela como professor de His-tória da América.
Em 1986 doou seu acervo o que possibilitou a criação do Museu de Arqueologia e Etnologia Americana (MAEA).

tribunademinas.com.br/noticias/cidade/12-07-2017/morre-aos-101-anos-franz-hochleitner-fundador-do-museu-de-arqueologia-e-etnologia-americana-da-ufjf.html

Biografia
Frederico Augusto Álvares da Silva
Nasceu em Juiz de Fora em 1828 e faleceu em 1899, Filho do Coronel da Guarda Nacional, Jacinto Ferreira da Silva e de Maria Carolina Álvares da Silva. Era casado com Júlia Emília Viana Barbosa.
Bacharelou-se em Ciências Jurídicas e Sociais pela FDSP em 1852.
Durante o período imperial, exerceu as funções de Juiz Municipal e de Direito em termos e Comar-cas do interior de Minas Gerais. Foi político e magistrado.
No período histórico conhecido como República Velha, foi eleito Senador Constituinte em 1891, também foi nomeado Vice-Governador do Estado de Minas Gerais. Assumiu interinamente o go-verno de Minas por duas vezes, em 28 de dezembro de 1890, substituiu Crispim Jacques Bias For-tes, terminando o seu mandato em 6 de janeiro de 1891, em 12 de fevereiro, assumiu novamente o cargo que havia sido antes ocupado por Antônio Augusto de Lima, função que durou menos de um mês, finalizando-se em 17 de março de 1891 pertenceu ao PRM.
Foi reeleito Senador estadual no ano de 1895 a 1902, para a 2ª e 3ª legislaturas. Aos 10 de junho de 1889, antes de se instalar a última legislatura, veio a falecer em Juiz de Fora.

https://bd.tjmg.jus.br/jspui/bitstream/tjmg/642/1/NBv1692004.pdf Dicionário Biográfico de Minas Gerais: Período Republicano 1889/1991. Belo Horizonte:
Assembleia legislativa do Estado de Minas Gerais, 1994. v. 2 p. 540-541.
Almeida Nogueira. A Academia de São Paulo: Tradições e reminiscências. 3 ed. São Paulo,
Saraiva, 1977. V.3 /Minas Gerais, Belo Horizonte, 13 de junho. 1899. p. 2
Ribeiro Coriolano Pinto & Guimarães, Jacinto. Dona Joaquina, do Pompéu. Belo Horizonte,
Imprensa Oficial, 1956/ Senado Federal, Subsecretaria do Arquivo. Arquivo Histórico.

Notícia
Frederico Carlos Hoehne
Nasceu em Juiz de Fora em 1882 e faleceu em 1959. Botânico, defendeu a proteção da natureza durante toda a sua vida, foi o pioneiro no tema entre os cientistas do país, escritor e primeiro diretor do Jardim Botânico e Instituto de Botânica de São Paulo.
Sua prática de campo e gabinete possibilitou inúmeras publicações na sua área de atuação, sendo pioneiro na defesa do uso de espécies nativas na arborização urbana, numa época em que só se fala-va de plantas europeias.
Sua contribuição para a ciência brasileira é longa e é autor de um gigantesco trabalho sobre orquí-deas nativas, tendo descrito centenas de espécies.
Durante sua existência escreveu dezenas de livros, tratados e artigos sobre o tema que dominava, entre eles: Relatórios dos trabalhos de botânica e viagens executadas durante os annos de 1908 e 1909. 1916, Monografia das Asclepiadáceas Brasileiras; Álbum da Secção de Botânica do Museu Paulista e Suas Dependências, etc. São Paulo, Imprensa Methodista, (março) 1925; Monographia das Aristolochiaceas Brasileiras, 1927; Boletim de Agricultura - Julho e agosto 1929. Rothschild, 1929. As Plantas Ornamentaes da Flora Brasilica (e o seu papel como factores da salubridade publi-ca, da esthética urbana e artes decorativas nacionaes). São Paulo, Rothschild, 1936; Arquivos de Botânica do Estado de São Paulo. Volume II – fascículo 3. São Paulo, 1946; Relatório Annual do Instituto de Botânica. São Paulo, Secretaria de Agricultura do Estado, 1950. A atualidade de um pioneiro no campo da proteção à natureza do Brasil. Ambiente & sociedade vol. 8 nº 1 Campinas Jan./June. 2005(post mortem).

João Lobo publicou no grupo História de Juiz de Fora em 08/02/2023

Wikipédia

Crônica
Frida Henzel Schäfer
D. Frida veio de Berlim, Alemanha, para Juiz de Fora, bem no começo do século XX, quando tinha de 10 para 11 anos. Ela contava que morava em um apartamento e que seu pai era metalúrgico.
Nunca esqueceu sua língua mãe, mantendo correspondência com amigas em alemão, mas não pode transmitir para seus familiares, pois, justamente quando seus filhos cresciam era proibido pelo go-verno da Ditadura Vargas ensinar o alemão no Brasil. Dava cadeia.
D. Frida se casou com Henrique (Rainer) Schäfer, gráfico na Cia Dias Cardoso, tiveram filhos: Roberto, Jacir, Adilson, Erna, Wilma e Hilda.
Meu Pai Arlindo e minha mãe, D. Nêga eu minhas irmãs Ângela e Regina (os outros irmãos não eram nascidos nessa época), habitualmente íamos à casa da D. Frida e Sr. Rainer no Borboleta. Era um evento sempre esperado ansiosamente.
Para começar, ao ir ao Borboleta nos transportávamos para outro mundo, mais rural, outra realida-de. Ao chegar na casa éramos recepcionados em um belo jardim, simples, mas, florido, caloroso, característica das casas da colônia, já na casa, muito aconchego, reminiscências e eu, criança, saia para explorar o enorme quintal a horta, também, cercada de flores, a criação de porcos e galinhas até chegar no córrego e depois uma enorme mata natural. Sempre apareciam outras crianças, ”pri-mos” distantes, que mais tarde, alguns se tornaram muito próximos Gracinha, Vera, Pardal.
No almoço “Repolhada”, Costela de porco com repolho e batatas servida com arroz e angu que meu pai adorava.
Depois do almoço mais conversas e uma visita à outra casa vizinha a Tia Maria, chamada “tia” tanda (tante em alemão que é tia, redundância) irmã de Rainer e de minha avó Anna*. Na volta à casa da “tia “Frida lá pelas 5 horas e antes de partir de volta à casa o esperado café com pão alemão, cuca, manteiga, chouriço branco, chouriço preto, geleias e tantas outras delícias que logo quando despedíamos já ficávamos com saudade.
A prima Wilma Munk Schäfer, filha de Frida, anos mais tarde, foi presidente da As-sociação Cultural e Recreativa Brasil Alemanha com muito destaque e realizou várias festas alemãs com sua equipe, ocasião em que estivemos atuando muito próximos.
A prima Graça Schäfer, neta de Frida foi responsável pela criação dos grupos de dança do Borboleta após a festa de 1990 quando esse autor teve intensa participação.
Encerrando, vou contar sobre a última visita que fiz à D. Frida, ela já com seus mais de 80 anos, meu pai falecido, há bastante tempo e resolvi, em certa tarde visitá-la. Ao chegar ela mesma abriu a porta e de imediato me confundi me chamando de “Arlindo” (de fato eu era bem parecido com meu pai) e de nada adiantou eu esclarecer várias vezes, com toda sutileza, que era o Luiz Antônio, a tia voltava a me chamar o nome de meu pai. Coitada, a esclerose estava adiantada, nada pude fazer, mas creio que ela ficou feliz.
Pouco tempo depois tive a triste notícia de seu falecimento e a informação de que nos seus últimos dias ela só falava e cantava em alemão. Tia Frida e Tio Rainer marcaram minha vida.
* Em 2022 recebi uma certidão da prima, Bete Stephan provando que minha avó Anna tinha o sobrenome Peters, que jogou por terra o parentesco com os "Scheffer" que sempre pensávamos existir.

do autor

Notícia

Gabriel Horácio de Barros

Conselheiro Municipal de 1887 a 1889

Filho de Ildefonso Monteiro de Barros. Foi admitido no Colégio Caraça em 1861 onde estudou até 30 de junho de 1887.

https://www.santuariodocaraca.com.br/o-colegio-e-seminario/ex-alunos/livro-de-matricula-1856-1910/livro-de-matricula-1861/

Biografia

Gabriel Sales Pimenta

Diretório acadêmico da Faculdade de Ciências Jurídicas de Juiz de Fora, recebeu o nome de Diretório Acadêmico Gabriel Pimenta, escola estadual em Morada Nova, município de Marabá, recebeu seu nome

Nasceu em Juiz de Fora em 20 de novembro de 1954 e faleceu em Marabá em 18 de julho de 1982.

Formou-se em direito pela Universidade Federal de Juiz de Fora.

Foi ator no Grupo teatral Divulgação, e participou de cinco peças entre 1973 e 1975, dentre elas um cancioneiro que contava a história do herói popular Lampião.
Depois de formado, Gabriel Pimenta transferiu-se para norte do país onde defendeu cerca de 160 famílias de trabalhadores rurais pela posse de terra na área da fazenda Mãe Maria, região do "Pau Seco", a aproximadamente 18 quilômetros da sede do município de Marabá, sul do Pará. Pimenta fora o primeiro advogado no conflitante sul do Pará a ganhar uma causa na jus-tiça em favor dos sem-terra, o que contrariou interesses de latifundiários da região.
Foi morto pelo latifundiário Nelito Cardoso que foi Julgado e sentenciado. Nelito Cardoso, irmão do ex-governador de Minas Gerais, Newton Cardoso, conseguiu ficar foragido da justiça brasileira durante 20 anos, passados estes, se entregou à polícia para imediatamente conseguir a prescrição do crime.
Em dezembro de 2008, a Organização dos Estados Americanos (OEA), através da Comissão Interamericana de Direitos Humanos, admitiu denúncia apresentada pelo Centro pela Justiça e Direito Internacional e Comissão Pastoral da Terra contra o Estado brasileiro, por violação a direitos humanos. De acordo com as referidas entidades, houve, por parte do Estado brasileiro, violação do direito à vida, à segurança, à liberdade sindical e à proteção judicial.
https://pt.wikipedia.org/wiki/Gabriel Pimenta

Notícia
Gabrielzinho, Gabriel Araújo
Paratleta do Clube Bom Pastor de Juiz de Fora
Nascido em Santa Luzia em 16 de março de 2002.
Diagnosticado com focomelia, doença congênita que impossibilita o desenvolvimento de bra-ços e pernas por inteiro.
Foi convocado pelo Comitê Paraolímpico Brasileiro (CPB). O técnico de Gabriel, Fábio Antu-nes, também foi chamado e será um dos treinadores do Brasil nos Jogos Paraolímpicos.
Nascido em Santa Luzia, criado em Corinto e radicado em Juiz de Fora, Gabrielzinho o primei-ro brasileiro a conquistar uma medalha nos Jogos Paralímpicos de 2020, Gabriel conquistou três medalhas na Paralimpíada, duas de ouro (200 m livre e 50 m costas na classe S 2) e prata (100 m costas classe S 2), totalizando um prêmio de R$ 364 mil.
Gabriel Araújo já vinha conquistando resultados relevantes no ciclo paraolímpico. No Parapan de Lima, no Peru, em 2019, ele faturou cinco medalhas e foi um dos destaques da delegação brasileira. Foram dois ouros (50 m. e 100 m. nado livre), uma prata (200 m. livre) e dois bron-zes (50 m. costas e 50 m. borboleta), bateu recordes brasileiros nos 50 m. e 100 m. nado livre na classe S 2. Além disso, o nadador bateu o próprio recorde mundial nos 50 m. borboleta, com o tempo de 1 m. 01 s. 65. Ele competiu com atletas das classes S 3 e S 4.
https://www.clubebompastor.com.br/

Citação
Galeno Bellei
Vereador por 3 mandatos, de 31/01/1955 a 31/01/ 1962 e de 31/01/1971 a 1972.

Biografia
Garcia Rodrigues Paes Leme
Abertura do “Caminho novo”/ A viagem que pelo caminho antigo levava 95 dias passou a 30 dias.
Av na zona norte às margens do Paraibuna. Nascido no Serro, mas não se conhece a data certa, antes de 1660 e falecido em Paraíba do Sul em 7 de março de 1738, foi sertanista, primogênito de Fernão Dias Pais Leme e de sua mu-lher Maria Garcia Betim, filha por sua vez de Garcia Rodrigues Velho e de Maria Betinck ou Betim.
Seu corpo deve estar inumado no mosteiro de São Bento, em São Paulo, reconstruído às custas do pai para que a família ali tivesse sepultura.
Estradas Reais
Estrada Real era o nome de todos os caminhos na época do Brasil colônia, entre elas, desta-ca-se as variantes que saiam do Rio de janeiro e partiam em direção do ouro das Minas Gerais. Eram chamados de caminhos, mas não passavam de picadas abertas nas florestas, pelos índios ou colonos.
A viagem que pelo caminho antigo, Caminho Velho, que ia de Paraty à Vila Rica, com cerca 1200 km levava 95 dias (quando o ouro chegava a parati, seguia de navio para o Rio de Janei-ro).
O Caminho novo
Carta-Régia em 1699, endereçada ao governador da capitania do Rio de Janeiro, Artur de Sá Menezes autorizou a Garcia Rodrigues Pais, filho de Fernão Dias Pais Leme (participante da Bandeira de 1674-1681) a abertura do “Caminho novo”
Garcia mudou-se de São Paulo para Rio de Janeiro e começou a abrir uma picada, usando re-cursos próprios e mão de obra escrava, em 1700 já tinha conseguido uma abertura para passa-gem de pedestres e prosseguiu, melhorando-a para permitir a passagem de cargas.
O Caminho novo, com mais ou menos 500 quilômetros, iniciava nos fundos da baía de Gua-nabara e seguia por 12 quilômetros pelo rio Iguaçu e até a vila de Xerém, dali em diante as mercadorias seguiam em cavalos ou lombo de burro pela reserva a do Tianguá, freguesia, ar-raial de Santana das
Palmeiras. Subia a difícil e íngreme serra até Paty do Alferes, descia em direção à Paraíba do Sul onde cruzava o rio, tomava o sentido norte, atravessando a Serra das Abóboras, alcançan-do o Rio
Paraibuna, na altura de Levy Gasparian e passava, então, na região onde se encontra a atual Juiz de Fora ao lado esquerdo do rio Paraibuna, seguindo em direção à Vila Rica. As obras terminaram em 1709.
Em determinado momento, impossibilitado economicamente e fisicamente de manter-se nos trabalhos teve que solicitar a ajuda do governador D. Álvaro. Como a Coroa possuía interesses na conclusão desse. Apesar de não ter concluído a tarefa, Garcia foi contemplado pelo Rei com quatro sesmarias ainda mais uma para cada um de seus filhos, escolhidas ao largo do Caminho Novo e o coronel Domingos Rodrigues foi nomeado como Cobrador das Estradas e Provedor dos Quintos, tendo para isso estabelecido o Registro e fundando nele uma fazenda de criação e cultura que lhe permitiu lucros e uma vida abastada.

https://idasbrasil.com.br/historia-estrada-real-minas-gerais

Notícia
Georg Gottlob Stroele, Pastor
Oficiou seu primeiro culto da Igreja Metodista em Juiz de Fora em 28 de agosto de 1862. A partir dessa data esse pastor, que morava em Petrópolis, deu assistência pastoral mensalmente com uma viagem a Juiz de Fora.

GERALDO

Citação
Geraldo Lopes da Silva
Vereador por uma legislatura, de 31/01/1955 a 1958.

Biografia
Geraldo Majella Agnelo, Dom

Presidente da Conferência Nacional dos Bispos do Brasil de 2003 a 2007.
Nasceu em Juiz de Fora em 19 de outubro de 1933 e faleceu em Londrina, Paraná em 26 de agosto de 2023, filho de Antônio Agnelo e sua esposa, Silvia Spagnolo Agnelo.
Cursou o primário (atualmente Educação Infantil) no Instituto Santos Anjos das Irmãs Carmeli-tas da Divina Providência, em sua cidade natal. Aos 12 anos ingressou no Seminário Menor Diocesano Santo Antônio, também em Juiz de Fora, onde ficou até completar 14 anos.
Entre os anos de 1948 e 1950 continuou os estudos em Pirapora do Bom Jesus, no Seminário Menor Arquidiocesano de São Paulo, dirigido pelos Cônegos Premonstratenses.
Ingressou no Seminário Central da Imaculada Conceição do Ipiranga, em São Paulo, no ano de 1951, onde cursou Filosofia até 1953. Em seguida, cursou a licenciatura em Filosofia na Fa-culdade de Filosofia da Universidade de Mogi das Cruzes – São Paulo. A licenciatura em Teo-logia foi cursada na Faculdade de Teologia Nossa Senhora da Assunção, também em São Pau-lo, de 1954 a 1957.
Em 29 de junho de 1957 foi ordenado presbítero, aos 23 anos na Catedral Metropolitana de São Paulo. Nomeado assistente da Juventude Estudantil Católica Feminina (1958-1959).
Foi docente no Seminário Cura d'Ars (1958-1959), no Seminário Filosófico de Aparecida, São Paulo (1960-1963), no Seminário Teológico, São Paulo (1964-1967). Foi nomeado cânone do capítulo da catedral de São Paulo pelo cardeal Carlos Carmelo de Vasconcelos Motta, arcebis-po da Sé, no início de 1964 a 1978; ele era também ceremoniere da catedral
Foi coordenador da Pastoral Diocesana entre 1970 e 1974. Passou a ser o Diretor da Faculdade de Teologia Nossa Senhora da Assunção (1975-1978).
Em 5 de maio de 1978, aos 44 anos, foi eleito bispo de Toledo, sendo consagrado em 6 de agosto de 1978 por Dom Paulo Evaristo Arns, O.F.M., arcebispo de São Paulo.
Em 10 de setembro de 1978, toma posse na Diocese de Toledo. Em 4 de outubro de 1982, é eleito Arcebispo de Londrina. Em 16 de setembro de 1991 é de-signado Secretário da Congregação para o Culto Divino e Disciplina dos Sacramentos, na Cúria Romana. Em 13 de janeiro de 1999, é transferido para a Sé de São Salvador da Bahia e torna-se Primaz do Brasil.
Foi criado cardeal-presbítero da Santa Igreja pelo Papa João Paulo II no consistório de 21 de fevereiro de 2001, recebendo o título de São Gregório Magno em Magliana Nuova
https://arquidiocesesalvador.org.br/cardeal-dom-geraldo-majella-agnelo/

Notícia
Geraldo Majela de Salles Guedes
Vereador de 31/01/1983 a 31/01/1988.
Foi secretário de administração do segundo governo do prefeito Tarcísio Delgado.

Biografia
Geraldo Maria de Morais Penido, Dom
Rua no Bairro Remonta
Nasceu no dia 06 de setembro de 1918, em Rio Manso, faleceu em 15 de novembro de 2002.
Nomeado bispo coadjutor em 30 de novembro de 1957, sucedeu imediatamente Dom Justino. Mais tarde, com a elevação da Igreja de Juiz de Fora para a condição de Arquidiocese, através da Bula Pontifícia “Qui Tanquam Petrus” do Papa João XXIII, em 14 de abril de 1962, Dom Geraldo tornou‐se o primeiro Arcebispo. Ele se afastou somente em 1º de dezembro de 1977, quando foi transferido para a Arquidiocese de Aparecida (SP), onde ficou até a data do seu falecimento, seus restos mortais se encontram no Santuário Nacional.

https://arquidiocesejuizdefora.org.br/historico/

Citação
Geraldo Martins Teixeira
Vereador em um mandato de 31/01/1959 a 31/01 /1962

Citação
Geraldo Pereira
Rua Vereador Geraldo Pereira, próximo ao Expominas
Vereador de 31/01/1983 a 31/01/1996

Biografia
Geraldo Pereira (músico)
Cantor e compositor - Medalha Geraldo Pereira da Câmara de Vereadores
Nasceu em Juiz de Fora, em 23 de abril de 1908, morreu em 08 de maio de 1955, aos 37 anos em uma briga de bar com o lendário personagem da boêmia carioca Madame Satã*.
O compositor e cantor chegou ao Rio de Janeiro em 1930 para morar com o irmão mais velho, morou próximo ao morro da Mangueira, foi amigo de Cartola e criou o samba sincopado que influenciaria a bossa nova anos mais tarde.
Trabalhou na Prefeitura do Rio de Janeiro, no volante do caminhão de limpeza urbana, empre-go que manteve durante toda sua vida.
Em 1995, foi lançado o livro Um escurinho direitinho: A vida e a obra de Geraldo Pereira, de autoria de Luís Fernando Vieira, Luís Pimentel e S. Valença (Rio de Janeiro).
*Madame Satã- João Francisco dos Santos Sant’Anna, capoeirista e transformista.

Mauricio Resgatando o Passado

Biografia
Geraldo Santana
Nasceu na Fazenda Liberdade, no município de Coronel Pacheco em 30 de março de 1930 e faleceu em Juiz de Fora, em 18 de outubro de 2011.
Casado com Doralice Drummond Santana.
É autor, em parceria com Carlos Odilon e Messias da Rocha, dos hinos do Tupi, Sport e Tu-pynambás (Juiz de Fora), tinha uma forte ligação com o Botafogo (Rio de Janeiro), para o qual compôs a música "Avante Botafogo".
Em 1974, foi campeão do carnaval em Juiz de Fora, pela escola de Samba Partido Alto, com o samba-enredo "Chica da Silva, Emancipação da Mulher Brasileira", em parceria com Armando Aguiar, o Mamão.
Geraldo Santana foi autor de belos sambas, que viveu e morreu pobre, já que dizia - “viver na música", mas não "dá música".

O escritor Wanderley Luiz de Oliveira escreveu a biografia "Geraldo Santana - Sonho, música e realidade", lançada em março de 2012.

Citação
Germano Antônio Monteiro da Silva
Conselheiro Municipal por um mandato, de 1877 a 1880

Notícia
Gerson Occhi

Foi diretor, por muitos anos, do Instituto de laticínios Candido Tostes
Vereador em uma legislatura, de 01/01/1993 a 31/12/1996
Nasceu em Guidoval, 07 de setembro de 1942. Estudou na Academia de Comercio e no Insti-tuto de Laticínios Candido Tostes (EPAMIG) no qual, posteriormente exerceu cargo de dire-ção. Graduou-se como advogado na UFJF.

Citação
Gervásio Monteiro da Silva
Conselheiro Municipal de 1877 a 1880

Notícia
Getúlio Vargas, Presidente
Av. no Centro da cidade
Em 1934, veio passar seu aniversário em Juiz de Fora acompanhado de sua esposa, as duas filhas e um ajudante-de-ordem, capitão Ubirajara, ficou hospedado na Fazenda São Mateus.
Vargas voltaria outras vezes à São Mateus, em 1935 e 1936, quando despachou, recebeu mi-nistros e o governador Benedito Valadares, assinou um decreto autorizando a repatriação dos restos mortais dos inconfidentes exilados na África, foi entrevistado por João Carriço, partici-pou de cavalgadas e caçadas a porcos-do-mato, visitou o Museu Mariano Procópio e a fábrica de estojos e espoletas de artilharia, a IMBEL.
Waldecyr Apparecido Martins, que era criança em 1940 e depois se tornaria presidente da Câmara de Juiz e Fora, hoje é taxativo: “A cidade tem uma dívida histórica com Getúlio Var-gas. Foi ele quem fez a maior obra da história de Juiz de Fora.

“ Mas o que foi a retificação do Rio Paraibuna?
O professor Pedro Machado, do Departamento de Geociências da Universidade Federal de Juiz de Fora (UFJF), explica que antes de 1940 o Paraibuna era “totalmente distinto do rio degrada-do que corta toda a extensão urbana do município hoje”. Era sinuoso, transportando suas águas em baixa velocidade, o que sempre resultava em transbordamentos.
Mais estreito e volumoso, o Paraibuna chegou a abrigar um transporte fluvial regular de passa-geiros, inaugurado em janeiro de 1914, pelo empresário Abel Araújo de Montreuil, que fazia a ligação entre o centro da cidade e o bairro Benfica por meio de lanchas. Antes, no final do século XIX, pela Resolução Municipal nº 94, André Alfeld e Adolfo Januska obtiveram privi-légio para navegação do Rio Paraibuna, transportando cargas e passageiros.
O professor lembra que Pedro Nava descrevia o rio como “tortuoso, barrento, águas propícias ao afogamento de meninos, aos suicídios das moças seduzidas e das escravas judiadas do Vis-conde de Monte Mário”, em “Baú de Ossos”.
Com o passar do tempo, segundo Pedro Machado, a calha do Paraibuna ficou pequena para o progresso da cidade. “Os inúmeros aterros realizados para construção de casas, praças e ruas intensificaram sua falta de capacidade para escoar as descargas máximas do período chuvoso”.
A natureza resolvia esse problema espraiando o excesso de água pelas várzeas localizadas ao longo do seu médio vale e na várzea central. Mas, explica o professor, era exatamente sobre essa última área que a cidade havia se expandido. “As cheias ocorriam agora numa várzea ocupada pela cidade, gerando enormes prejuízos humanos e econômicos”.
Com a resolução de Getúlio Vargas após a enchente de 1940, Hildebrando Góis desembarcou em Juiz de Fora e, após estudo aprofundado da dinâmica do rio e dos vários planos e projetos até então existentes, anunciou seu plano para solucionar as inundações em março de 1942.
As obras de retificação mudaram o traçado do rio e envolveram dragagem, aterros, desmonte de rochas, escavação, proteção das margens, reconstrução e alargamento de pontes, desvio da estrada União e
Indústria e desapropriações. Com as alterações, que implicaram em um ganho de declividade, a capacidade de descarga do Paraibuna passou para 340 metros cúbicos por segundo.
Pedro Machado chama a atenção para a intervenção conhecida como Variante Howyan. “Sem dúvidas, a intervenção mais espetacular do plano de retificação foi a construção do canal ex-travasor, entre os bairros Poço Rico e Costa Carvalho (antiga região das Três Pontes), proposto por Howyan em 1892 e em sua homenagem chamada Variante Howyan. ” Nesse trecho, o curso do sinuoso do Paraibuna foi reduzido de 1.440 metros para 840 metros, permitindo mai-or fluidez às águas.
A retificação do rio, com o aterro das várzeas, das margens e do seu antigo leito, promoveu ocupação e incorporação de novas áreas ao processo de urbanização. A partir daí, foi possível viabilizar a Avenida Brasil, principal ligação entre as regiões sudeste, centro e norte da cidade. http://carlosferreirajf.blogspot.com/2009/06/fazenda-sao-mateus.html

https://jornalopharol.com.br/2021/12/o-natal-mais-triste-da-historia-de-juiz-de-fora/

Notícia
Gilbert
Em setembro de 1857 o engenheiro alemão Gilbert foi encarregado por Mariano Procópio Ferreira Lage a contratar 3.000 colonos na Alemanha, mas, só vieram cerca de 1200.

Notícia
Gilberto Vaz de Melo
Vereador por um mandato, de 01/01/1993 a 31/12/1996, PC do B
Nascido em Mar de Espanha, em 9 de novembro de 1951.
Sociólogo, formado na UFJF, escritor, poeta e pesquisador, tem como interesses principais: pesquisas sociológicas, literatura e música (MPB). É associado do Centro de Estudos Socio-lógicos de Minas Gerais, membro fundador da Casa do Poeta Belmiro Braga e ocupou por vários anos uma cadeira na Academia Juiz-forana de letras.

Biografia
Giovane Gávio, Giovane Farinazzo Gávio

Bicampeão olímpico no Vôlei
Nasceu em Juiz de Fora no dia 7 de setembro de 1970, treinador e jogador de voleibol. Filho de João Ayrton Gávio e Lecy Farinazzo Gávio.
Começou no esporte aos doze anos de idade, jogou em várias equipes em sua carreira:
Esporte Clube Banespa, Charro/Padova (Itália), Messaggero/Ravenna (Itália), Palmeiras, Chapecó (SC), Report/Suzano (SP), Vasco da Gama, Noicom Brebanca Cuneo (Itália), Mi-nas Tênis Clube, Unisul/Cimed e São Paulo, e participou de mais de 400 partidas pela sele-ção brasileira, trinta campeonatos e disputou 31 partidas em Jogos Olímpicos.
Suas maiores conquistas:
1987, Campeão sul-americano juvenil, pela seleção brasileira; 1987, Campeão brasileiro, pelo Banespa; 1989, Campeão sul-americano adulto, pela seleção brasileira, melhor bloque-ador da Copa do Mundo no Japão, campeão brasileiro, pelo Banespa; 1991- Campeão sul-americano, campeão olímpico, Campeão da Liga Mundial; 1993, Campeão europeu, pelo Ravenna, melhor jogador do mundo, Bicampeão europeu, pelo Ravenna, Campeão sul-americano; 1995, Vice-campeão da Liga Mundial, Campeão da Super Liga, pelo Rep-port/Suzano; 1998, Campeão brasileiro do Circuito Vôlei de Praia; 2001, Vice-Campeão da Super Liga (Banespa), Campeão da Liga Mundial, Campeão sul-americano, vice-campeão da Liga Mundial; 2002, Campeão mundial; 2003, Campeão da Liga Mundial, campeão sul-americano, campeão da Copa do Mundo no Japão, melhor atacante da Copa do Mundo no Japão e Campeão da Liga Mundial, bicampeão olímpico
Principais conquistas como treinador:
2009, Copa São Paulo, Campeonato Paulista, Copa São Paulo; 2010, Campeão da Superliga Brasileira de Voleibol pelo SESI-SP; 2010, Campeão Paulista pelo SESI-SP; 2016, Campeão Estadual do Rio de Janeiro pelo SESC-RJ; 2016, Campeão da Superliga B pelo SESC-RJ. https://pt.wikipedia.org/wiki/Giovane_G%C3%A1vio

Notícia
Granbery
John Mcphearson Lander e John W. Wolling
Em setembro de 1889, instalam-se aqui os missionários John Mcphearson Lander e John W. Wolling, fundando a Juiz de Fora High School and Seminary com apenas dois alunos matricu-lados, no prédio n. 10 da Rua de Santo Antônio. Em 1890, teve seu nome modificado para “Collegio Americano Granbery”, em homenagem ao primeiro bispo da Igreja Metodista Epis-copal do Sul a visitar o Brasil. Nessa instituição foram criados em, 1904, os cursos de Farmá-cia e Odontologia e as faculdades de Direito (1911) e Pedagogia (1928) que posteriormente vieram a integrar a UFJF.

UNIVERSIDADE FEDERAL DE JUIZ DE FORA PROGRAMA DE ...https://repositorio.ufjf.br › jspui › bitstream › ufjf ›
globo esporte.glglobo.com

Notícia
Godofredo Baziliço Botelho
Vereador por 3 legislaturas de 31/01/1955 a 31/01/ 1962 (Presidente da Câmara 31/01/1959 a 31/01/1960) e de 1963 a 1966.
Na esquina da Avenida Brasil com a Rua Halfeld, a placa anuncia que ali teoricamente existe uma praça, a Godofredo Baziliço Botelho. Mas no local só é possível encontrar mato e um ponto de ônibus.

https://www.ufjf.br/arquivodenoticias/2010/01/25-de-janeiro-2/

Gonçalo Ribeiro Gonçalves
Conselheiro Municipal de 1923 a 1930.

Notícia
Guedes, Carlos e Júlio
Irmãos gêmeos, univitelinos, nascidos em 19 de fevereiro de 1952, Júlio faleceu em 21 de dezembro de 2014.
Eram carnavalescos por excelência, fantasiavam de baiana e desfilavam à frente do grupo “Domésticas de Luxo” (desde os 18 anos de idade) na Escola de Samba Juventude Imperial, Banda Daqui, onde colaboravam com Zé Kodak na organização dessa. Diversas outras insti-tuições carnavalescas de Juiz de Fora e região tinham o privilégio de suas presenças.
Júlio foi o rei Momo entre 1993 e 2004 e passou a coroa ao irmão Carlos, que permaneceu no cargo até 2008. Durante esse período, por serem excelentes chefs, realizavam o “Banquete do Rei”, um evento Gastronômico próximos ao carnaval.
Durante 24 anos participaram efetivamente do “Miss Gay, no domingo, pós evento (realizado no sábado à noite) promoviam uma feijoada para os participantes e frequentadores do concur-so, momento de confraternização e comemorações.
Idealizaram e realizaram por muito anos a festa do Gigante no bairro Bandeirantes, que era a festa do clube de Gigantes (de futebol de veteranos)

https://www.pjf.mg.gov.br/noticias/view.php?modo=link2&idnoticia2=48088

https://g1.globo.com/mg/zona-da-mata/carnaval/2016/noticia/2016/01/voltei-ao-meu-lugar-diz-rei-momo-de-juiz-de-fora.html

[https://www2.ufjf.br/multimeios/2013/06/25/mosaico-76-1-bloco-24062013-carlos-guedes-julio-guedes-e-corais-de-juiz-de-fora/

Citação
Guilherme Cappelle
Conselheiro Municipal em um mandato, de 1892 a 1895

Citação
Guilherme de Souza
Vereador em uma legislatura, de 31/01/1955 a 31/01/ 1959

Notícia
Gunther Adolph Fassheber
Rua no Bairro Jardim Casablanca
Imigrante de origem alemã, veio para Juiz de Fora em 1860 e começou a trabalhar como far-macêutico local tornando-se o primeiro farmacêutico do município. Segundo o escritor Luís Eduardo de Oliveira em seu livro "Os trabalhadores e a Cidade", um dos momentos importan-tes para a vida do farmacêutico e também para a cidade, foi quando em 1871, "na construção do túnel de Marmelos da "Linha Centro" da Estada de Ferro D. Pedro II", diariamente haviam trabalhadores operários acidentados pelas explosões com dinamites. Observando esse fato e a preocupação com esses operários fez com que Gunther construísse no quintal de sua botica, pequenos quartos para recebe-los e tratá-los.

Braunner Fassheber Novais grupo COLÔNIA ALEMÃ DE JUIZ DE FORA np Face Book

Notícia
Gustave Gamelin, General
Ficou hospedado na Fazenda São Mateus na década de 1920 quando veio chefiando uma missão militar francesa, para modernizar o Exército.

Biografia
Gustavo Freire, Monsenhor
Rua no São Mateus
Nasceu em São José das Três Ilhas, filho de José de Souza Freire e Fausta Emerenciana Frei-re, foi batizado e crismado na mesma cidade que nasceu, fez primeira comunhão na Matriz de Santo Antônio em Juiz de Fora.
Iniciou seus estudos no Colégio Freire que era dirigido pelo seu pai, cursou o ginásio na Aca-demia de Comércio, estudou grego e latim no Colégio do Patrocínio e cursou Filosofia e Teo-logia no Seminário de Mariana cursando Filosofia e Teologia.
Em 1924 o Monsenhor Gustavo Freire foi nomeado Capelão da igreja de São Mateus que as-sumiu no ano seguinte. Após sua chegada, decidiu fundar uma Paróquia, a antiga Igreja já não comportava os fiéis, pois o bairro crescia vertiginosamente.
No dia 01 de janeiro de 1927, instalou-se solenemente a Paróquia São Mateus e no dia 23 de junho de 1933, foi lançada a pedra fundamental da igreja.

ROBISON ZACHARIAS GUIMARÃES, inclusive foto

Notícia
Gustavo Dodt, engenheiro
Rua no Bairro Dom Bosco
Primeiro Planejamento Urbano de Juiz de Fora
A planta cadastral do engenheiro Gustavo Dodt, de 1860, foi a primeira da cidade e continha propostas de melhoramentos urbanos. Era, principalmente um plano que mostrava a preocupa-ção do engenheiro em setorizar equipamentos públicos, além de delimitar um centro da cidade formado por um triângulo formado por três vias: Rua Direita, Estrada do Paraibuna ou Rua Principal, Rua D. Pedro II, parte da Estrada União Indústria) e Avenida Independência que seria derivada da canalização do córrego de mesmo.

https://fundamentosarqeurb.files.wordpress.com/2012/04/aula-hist_formac3a7c3a3o-jf.pdf

Daniela Arbex

Daniel Pinto Corréa

Djalma de Moraes

Dilermando Cruz

Dilermando Cruz Filho

Aristeu Delmonte

Djalma morale

Domeverly Nóbrega

Domingão

dnar

Douglas Fasolato

Duc Bicalho

Edgard Quinet

Edmilson de Almeida Pereira

Edmundo Villani-Côrtes

Edouard de Freitas

Edouard de Meneses

Edouardo Novy

Eliardo França e Mary França

Elizângela Colodeti

Erik Mayrink

Ernani Ciuffo

Ernesto Guidice Filho

Eudóxio Infante

EugÉnia Brandão

Dom Eurico

Emerson Beloti

Monseigneur Falabela

Felipe Roque

Felipe Silva

General Fernando Cardoso

Fernando de Paiva Mattos

Fernando Junqueira

Fernando Paranhos

Fernando Rainha

Figueiroa

Dr Fiorilo

Vérificateur Flavio

Fonseca Hermès

Francisco Canalli

Francisco Valle

Franz Joseph Hochleitner

Frederico Augusto Álvares da Silva

Frederico Carlos Hoehne

Gabriel

Gabrielzinho

Garcia Rodrigues Paes Leme- Estátua em Paraíba do Sul

D. Geraldo Agnello

D. Geraldo Guedes

D. Geraldo Maria

Capa de disco de. Geraldo Pereira

Geraldo Santana

Gerson Occhi

Getúlio na Fazenda São Mateus em Juiz de ForaEsq./dir.: Lair Palleta de Resende Tostes; Getúlio Dornelles Vargas e João de Resende Tostes. Juiz de Fora, MG, 19/abr./1934. – Acervo da Fundação Getú-lio Vargas- Os Tostes eram os Proprietá-rios da Fazenda à época